Retranscription des premières minutes :
- Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Bonjour Gilles, une nouvelle semaine qui redémarre comme la chenille.
- J'ai des références monsieur. Vous avez été à un mariage ? Pas loin, pas loin.
- Ange Noiret est notre invitée, bonjour.
- Vous êtes météorologue, le météorologue emblématique de Bonjour sur TF1.
- Vous êtes joker d'Evelyne Délia également, vous avez rejoint TF1 en qualité de présentateur météo.
- Mais j'ai précisé que vous étiez météorologue, on ne vous a pas choisi parce que vous étiez joli garçon.
- Enfin entre autres, ça doit compter aussi.
- Ça y est, la cougar.
- Je ne sais pas, je ne sais pas.
- C'est pas à moi de le dire.
- Ça doit compter.
- C'est mes compétences qui ont été appelées en premier.
- Vous avez commencé sur la chaîne météo et vous allez nous raconter toute cette aventure.
- Plaisir.
- Et Valérie, pour ceux qui ne...
- qui ne savent pas et s'imaginer qu'il y a Ange Noiret et qui ne nous regardent pas sur nos réseaux sociaux, c'est le monsieur qui a toujours des tennis quand il fait la météo.
- C'est un peu votre marque de fabrique.
- Pourquoi vous êtes en costume tennis ? Comment c'est venu ? C'est venu de...
- J'adore la mode masculine.
- Je parle du costume, du coup.
- Et l'armée aussi, qui m'a appris à venir travailler en costume, cravate.
- Parce que dans l'armée, on a l'image du tri.
- Mais moi, je travaillais en tenue de bureau.
- On appelait ça.
- Donc, c'était cravate, chemise blanche.
- J'ai pris cette habitude-là.
- Et ensuite, derrière, je l'ai prolongée, y compris à TF1, dans mes bulletins météo.
- Et ensuite, sont venus les baskets.
- Et là, c'était pour des questions un peu de confort.
- Au début, c'était juste le vendredi.
- Dans ce qu'on appelle le Friday Wear.
- Et en fait, ça faisait tellement parler.
- Ça faisait jaser.
- C'est incroyable.
- Sur les réseaux, j'avais plus...
- On pouvait faire la meilleure météo du monde.
- Non, mais c'est ça.
- Et puis, je pouvais parler de changement climatique, etc.
- Non, les baskets.
- Les baskets de costumes, ça faisait pareil.
- Les téléspectateurs vous en envoient ? Des baskets ? Oui.
- Non.
- Pourquoi ? Peut-être, comme ça, pour vous faire plaisir.
- Et je porte leurs baskets.
- Voilà.
- On va passer tout de suite...
- On va lancer une nouvelle rubrique.
- On va passer au zapping.
- Bon, Valérie, tout le week-end, on n'a pas fini de débattre, débattre sur la justice et Nicolas Sarkozy.
- Je suis sûre que vous l'avez fait aussi.
- Et puis, parmi un des sujets qui est revenu, c'est la fameuse cellule.
- C'est la cellule.
- C'est la cellule VIP.
- Est-ce qu'il va être dans de bonnes conditions par rapport à d'autres prisonniers ? Alors, tout beau, tout neuf.
- C'était jeudi, mais comme vendredi, on a fait une émission spéciale.
- Le son, c'était jeudi, pour être tout à fait honnête.
- Pierre Botton, vous savez qu'il a bien connu la prison VIP, est revenu sur quelque chose d'intéressant.
- Le premier jour, quand il va mettre son pied dans la prison, qu'est-ce qui va se passer ? On va regarder ses affaires, voir si dans ses affaires...
- Donc là, tous les anciens détenus savent que, par exemple, il ne faut pas avoir de parfum, parce qu'il y a de l'alcool, donc on ne peut pas avoir de parfum, pas d'objet tranchant.
- Tous les objets de valeur sont enlevés.
- Et ensuite, on va faire attention à ce qu'il a dedans, et puis on va l'amener dans sa cellule.
- Et là, je vous avoue que c'est quand vous rentrez dans votre cellule et que la clé se ferme, là, vous comprenez que vous n'avez plus le pouvoir sur rien.
- Et la meilleure preuve, c'est que vous perdez presque votre nom et vous devenez un numéro d'écrou.
- Même Nicolas Sarkozy.
- C'est ça.
- Vous voyez, c'est quelque chose que je voudrais vraiment que vos téléspectateurs comprennent.
- Il n'y aura pas de différence pour Nicolas.
- Vraiment ? Non, il n'y aura pas de différence.
- Et je vais même vous dire plus, ça va être plus dur pour lui.
- Actuellement, en France, il y a 50 000 téléphones portables dans les prisons.
- Je peux vous assurer qu'il y en a un qui n'en aura...
Transcription générée par IA