Retranscription des premières minutes :
- Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Bonjour, bonjour Gilles.
- Bonjour Valérie.
- Mission Média, 11h30, vous avez dansé sur Partir un jour ? J'ai plutôt chanté que dansé, je suis plus bon dans le chant que dans la danse, vous imaginez bien.
- Philippe Nicolique, le destin brisé d'une icône, c'est ce soir sur TF1, le biopic événement Philippe.
- Michael Mittelstadt, bonjour, vous incarnez Philippe ce soir dans ce document.
- Ici évidemment, ceux qui suivent un peu les feuilletons vous connaissent, puisque vous êtes dans Ici tout commence.
- Et nous attendons Sarah Mortensen, qu'on avait reçue ici pour Astrid et Raphaël, plus belle la vie, elle incarne la compagne, la femme de Philippe dans ce biopic.
- Et il faut dire que ce n'est pas l'histoire des To Be Free, mais c'est la chute de cette icône.
- De ce boys band qui a eu déjà un succès absolument incroyable.
- Et de cet homme qui, à 35 ans, meurt brutalement.
- Vous le connaissiez avant ? Pas du tout, moi je suis passé complètement à côté.
- Vous êtes un peu jeune.
- Oui, alors ce n'est pas entièrement une excuse parce que j'ai plein de potes à moi qui sont...
- Oui, il y a plein de jeunes ici dans la rédac qui connaissent.
- Je crois que c'est juste le concours de circonstances qui a fait que je suis passé totalement à côté.
- Et comment on vous a proposé ce rôle ? Il y a eu un casting ? Il y a eu des essais.
- Ce qui était rigolo, c'est que...
- J'avais déjà passé les essais pour la série Prime, pour le même rôle de Philippe.
- Mais non ! Ah si, alors qu'en plus ce qui est très drôle, c'est que moi je n'estime pas lui ressembler de façon évidente.
- Et quand j'ai vu à six mois qu'il y avait un deuxième...
- C'est la première fois, ça n'arrive jamais.
- Oui, c'est incroyable.
- Deux fois pour littéralement le même rôle.
- Moi je me suis dit, bon, il y a peut-être un truc à aller chercher avec ce garçon.
- Et donc voilà, la deuxième fois, moi j'y suis allé avec l'énergie de Philippe en essai.
- Un côté un peu foufou, en me disant je vais essayer de charmer tout le monde.
- Parce que j'avais un peu regardé des images d'archives.
- Des images de lui ? Vous aviez le même corps que lui ou pas ? Pas du tout.
- Je ne peux absolument pas rivaliser avec son corps d'athlète.
- Mais ça va, je n'ai toujours été très sportif, donc je me défends un tout petit peu.
- Mais quand on se présente à un casting pour un rôle comme celui-là, est-ce qu'on s'entraîne avant ? Est-ce qu'on essaye de se muscler ou pas trop ? Non, il n'y a pas beaucoup de temps.
- Parce que je pense que si on est pris, c'est que ça va être pris en compte par la suite, ce qui a été le cas.
- Là, c'était vraiment voir si l'acteur peut correspondre à ce que le personnage...
- Et là, en l'occurrence, Philippe, quelqu'un qui a vraiment existé, renvoie comme énergie, comme émotion, comme vibe.
- Mais quand vous dites que vous ne lui ressemblez pas, est-ce que vous n'avez pas eu peur qu'on lui dise du tout, il ne lui ressemble pas du tout ? Est-ce que c'était un problème pour vous ? Vous vous êtes dit, je vais jouer sur autre chose ? Non, en fait, ça a été plus... C'est-à-dire qu'en allant dans le casting, je le savais.
- Donc, ce n'est pas comme si on me dit, tu ne lui ressembles pas vraiment, on n'apprend rien.
- Donc, au contraire, ça m'a permis de me détacher et de vraiment me concentrer sur qu'est-ce qui fait que Philippe était philique.
- Alors, Philippe, certes, c'était quelqu'un d'extrêmement beau, charismatique, mais qu'est-ce que moi, je peux aller chercher de lui dans le charisme, dans la séduction, dans l'énergie ? Et je pense que c'est aussi le fait de ne pas lui ressembler, peut-être qu'il va être plus facile pour les spectateurs de se projeter dans l'histoire.
- Oui. Alors, on va passer au zapping et puis avec Sarah Mortensen, on parlera un peu plus...
Transcription générée par IA