Retranscription des premières minutes :
- Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Bonjour à toutes et à tous et bonjour Gilles, premier maire.
- C'est soit le défilé, soit le muguet, soit les deux, on peut défiler avec du muguet.
- Et nous on a décidé de parler musique aujourd'hui, la musique adoucit les beurres.
- La nostalgie même.
- Vous auriez pu nous passer...
- Merci patron.
- Merci patron, si vous aviez eu envie de faire un zapping ce matin.
- Au Salvador, le travail c'est la santé.
- Absolument.
- Bernard Minet, Billy Crawford...
- Mais je ne pense pas que ce sera ce slogan tout à l'heure dans les rues de Paris.
- Bernard Minet, Billy Crawford, on les a reçus tous les deux, deux invités formidables, deux émissions qu'on a beaucoup beaucoup aimées.
- Billy Crawford nous a épatés quand même.
- Oui, Billy Crawford qui était venu pour nous parler.
- Ah oui, on ne s'imaginait pas à un tel personnage.
- Absolument, il est revenu sur son alcoolisme et il nous a parlé évidemment de son tube...
- Tracking.
- Comme je l'ai fait à l'anglaise, vous avez vu ? Voilà, Billy Crawford.
- Le meilleur défilé.
- De Sud Radio Média.
- Voilà, Billy Crawford est avec nous.
- On va parler de cette Olympia le 20 mai à Paris.
- Première Olympia pour vous en France.
- Ça vous saoule qu'on vous repasse toujours cette chanson ou pas ? J'en ai marre.
- Oui, c'est ça.
- J'en ai marre, j'en veux vomir chaque fois que j'entends une première phrase.
- Mais en fait, c'est le début de mon carrière.
- Oui.
- C'est grâce au public français, grâce à cette chanson et ça marche pour moi.
- Et après 25 ans et j'ai chanté la même chanson, c'est bon pour moi.
- Oui, mais il y a un auditeur qui demande, est-ce que la France a été déterminante dans votre succès ? Ah oui, bien sûr.
- Il n'y aurait pas eu la France, vous n'auriez peut-être pas fait cette carrière-là.
- Pour toute mon carrière en Europe, France qui commande tout.
- C'est toute francophone qui donne tout le succès pour moi.
- Pour Tracking, pour toutes les autres chansons que j'ai sortes.
- C'est toujours France.
- C'est le premier qui fait exploser le signal.
- Et comment vous l'expliquez ? Je ne sais pas du tout en fait.
- Peut-être que ça se voit que moi-même, même que je suis un étranger, j'adore cette culture, j'adore cette paix, j'adore la langue, j'adore la nourriture, les gens et tout.
- C'est pour ça, je pense, j'ai donné ça et il m'a donné plus que ça.
- Oui, et puis on était aussi à une époque de boys band, une époque de bo-goss.
- Qui savait danser.
- Donc ça a joué vachement.
- Il y a eu une petite romance avec une Française qui a joué dans l'histoire.
- Donc vous aviez tous les éléments pour plaire.
- Est-ce qu'à ce moment-là, vous aviez envie de chanter d'autres choses ou pas ? Ou en fait, vous ne contrôliez pas grand-chose ? À l'époque, je ne contrôlais pas grand-chose en fait.
- C'est ma maison de disque qui commande tout à l'époque.
- Mais maintenant, en fait, je suis plus libre.
- Je peux chanter n'importe en fait.
- Et je peux sortir comme je veux en fait.
- Parce que je ne suis pas à la maison de disque.
- Maintenant, c'est plus facile pour les artistes en fait pour sortir des choses.
- Ils ne sont pas de pourquis tellement lourds avec toi.
- Mais on a l'impression que la télévision, le succès, les journaux, ça amène plein de choses.
- Et on a un peu en parlé en antenne.
- Vous, ça vous a fait tomber dans l'alcool ? Ah oui.
- Et la dépression ? Grave, grave, grave.
- J'ai tombé tellement malade.
- 2005, 2006.
- J'ai retourné aux Philippines.
- J'ai tombé malade.
- Je suis dans l'hôpital.
- J'ai cassé mes choix.
- Mais après ça, j'ai dit bon, j'ai arrêté un petit peu.
- Mais j'ai tombé alcoolique en fait.
- Je bois tous les jours pour un an et demi.
- Même le même temps que je travaille.
- Mais j'ai tombé tellement malade.
- J'étais tellement pas bien.
- C'est pour ça que j'ai arrêté pour un an, un an et demi.
- Un truc comme ça.
- Et maintenant, ça fait huit ans que je ne bois plus.
- Je...
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