Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio. La vérité, je vais vous la dire. La vérité en face. Un face-à-face, d'accord, mais moi tout seul. Patrick Roger.
- Ah bah oui, un face-à-face, mais seul. Bah oui, c'est mieux, c'est plus simple. C'est ce que reprochent d'ailleurs certains, parfois, à Emmanuel Macron.
- C'est-à-dire qu'il parle, qu'il parle, qu'il parle, et lui-même n'agit pas forcément.
- Bon, là, cette semaine, tout de même, parce que ça a été l'un des faits de la semaine, il s'est exprimé devant un panel avec beaucoup d'intervenants.
- Il avait réponse à tout. C'est la spécialité d'Emmanuel Macron, là, la réponse à tout. Et il faut l'avouer, bien sûr, il est assez fort à cet exercice.
- C'est sans doute l'un des meilleurs. Sauf que cette semaine, ça n'a pas vraiment marché non plus.
- Je ne sais pas si, d'ailleurs, vous voulez toujours réagir ce matin sur ce sujet. Nous y reviendrons dans notre débat du vendredi avec Éric Tegner, et Alex Darman, comme chaque vendredi. On va y revenir. À quoi ça a servi qu'Emmanuel Macron prenne la parole cette semaine ? Qu'en pensez-vous ? On va y revenir. Il y a eu un autre face-à-face. Ce sont les auditions, aujourd'hui, devant les commissions parlementaires.
- Il y a quelques années, on n'en entendait jamais parler. Aujourd'hui, il y en a beaucoup. C'était Bayrou face à des députés.
- Il y a eu des chefs d'entreprise, et pas n'importe lesquels, qui ont été auditionnés.
- Aujourd'hui, il y a des commissions parlementaires sur beaucoup, beaucoup de sujets.
- Et on a l'impression que ce sont des procès parallèles qui se tiennent. Qu'en pensez-vous ? Est-ce que vous êtes d'accord avec ce procédé ? 0826 300 300. Vous pouvez évidemment réagir sur Sud Radio, comme vous pouvez réagir sur tous les autres sujets.
- La bataille des LR, ce week-end, avec Wauquiez-Retailleau. On en a parlé à l'instant avec l'invité Vincent Jeanbrun, qui est un député LR, lui aussi, de Maxime.
- D'autres sujets dans l'actualité. On en vient à se suicider, à se donner la mort, parce qu'on a des problèmes sur le terrain, des côtés des vignerons qui sont obligés de procéder à des arrachages.
- Témoignage qui était très fort ce matin au micro de Maxime Liedot. Là aussi, vous pouvez réagir. Et puis, il y a les enlèvements aussi de cette semaine qui font réagir.
- Enlèvements. Pourquoi ? Par, évidemment, des délinquants qui concernent directement des gens qui sont dans la crypto-monnaie.
- Pourquoi ? On va s'interroger. Et puis, j'aimerais vous entendre, 0826 300 300, sur ce sujet, bien sûr.
- La bataille des LR, Wauquiez-Retailleau, ça se jouera dimanche. Alors, c'est important, parce qu'évidemment, c'est peut-être et probablement un compte à rebours avant la présidentielle.
- Mais c'est surtout pour voir si ce parti des Républicains peut se réveiller pour avant cette présidentielle.
- Parce qu'on se souvient, quand même, du dernier résultat des Républicains à la présidentielle. Ce n'était pas brillant.
- Alors, aujourd'hui, Wauquiez-Retailleau peut reprendre la présidence de ce parti et puis l'emmener vers la présidentielle, même si c'est un autre chemin.
- Qu'en pensez-vous ? Est-ce que vous êtes plutôt favorable à Wauquiez, à Retailleau ? 0826 300 300 avec des appels.
- Sandra, d'abord, qui est avec nous. Bonjour, Sandra.
- Bonjour, Patrick.
- Bon.
- Vous vous êtes, je crois...
- Vous êtes adhérente à l'air, hein ? Oui.
- Oui, j'ai été élue, même.
- Vous avez été élue ? Oui, d'accord.
- Voilà.
- Bon. Et Wauquiez-Retailleau, qu'en pensez-vous ? Vous êtes plutôt Retailleau ou Wauquiez ? Alors, je vais vous dire, j'habite en Vendée.
- Ah ! Donc, ce sont les terres de Retailleau, quoi.
- Alors, ce n'est pas le seul motif, bien évidemment, parce que ça ne suffirait pas.
- Mais pour connaître M. Retailleau, c'est un homme intègre.
- Oui.
- Il n'a jamais lâché ses convictions, même quand ce n'étaient pas des convictions à la mode.
- Même s'il a été attaqué à une période par le haut en même temps et que, du coup, ce qu'il disait, qui était très pragmatique et très concret, n'était pas entendable face à la publicité macroniste.
- Parce qu'en fait, ils ont fait de la com' tout le temps, mais on voit le résultat, il n'y a rien.
- Là, on a un homme engagé qui...
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