Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio. J'ai toujours tenu un langage de vérité. La vérité en face. Voilà ce que nous devons viser. Patrick Roger.
- Un langage de vérité, il devrait le tenir dans quelques jours Emmanuel Macron puisque vous avez vu, il sera sur TF1, probablement pour un bilan déjà à mi-mandat.
- Vous voulez réagir d'ailleurs sur ce sujet, vous n'hésitez pas 0826 300 300, vous avez la parole librement sur Sud Radio dans La Vérité en Face jusqu'à 10h.
- Tout à l'heure, nous aurons nos débatteurs comme chaque mercredi, Elisabeth Lévy face à Thomas Guénolé.
- On va revenir sur ce livre qui fait beaucoup causer, qui est autour de LFI et surtout de la manière dont c'est mené par le couple Jean-Luc Mélenchon et sa compagne qui mène, Chiricou, Chikirou qui mène donc LFI. Qu'en pensez-vous bien sûr sur les méthodes ? Nous y reviendrons tout à l'heure avec eux.
- Nous reviendrons aussi sur l'islamophobie entre guillemets, sur le conclave avec les archevêques qui rentrent cet après-midi, qui vont essayer de trouver un nouveau pape bien sûr.
- Là aussi, vous avez votre idée, vous voulez réagir 0826 300 300. Vous voulez réagir aussi sur les propos de Mgr Rouget qui était l'invité de Jean-Jacques Bourdin il y a quelques instants.
- L'euthanasie dit-il, ce n'est pas un moindre mal comme l'a dit Emmanuel Macron, c'est donner la mort a dit Mgr Rouget.
- Et il dit qu'il a une ambiguïté avec le président de la République, par exemple sur la fraternité. La fraternité, selon lui, c'est prendre soin des personnes fragiles.
- Qu'en pensez-vous ? Est-ce que c'est le débat évidemment sur la fin de vie ? J'aimerais vous entendre. J'aimerais vous entendre également au 0826 300 300 sur cette idée, cette proposition de loi qui revient de nouveau sur les salaires hebdomadaires. Plutôt que d'avoir un salaire mensuel, un salaire hebdo. Est-ce que c'est jouable ? Est-ce que c'est possible ? Évidemment, c'est quand même assez compliqué parce que le salaire toutes les semaines en termes de compta, il faut tout réorchestrer. Mais pourquoi pas ? Je ne sais pas ce que vous en pensez.
- 0826 300 300. Emmanuel Macron qui reçoit aussi le président syrien. C'est une première. C'est lui, Emmanuel Macron, qui est le premier à le recevoir.
- C'est quand même un ancien djihadiste devenu président par intérim de la Syrie, reçu donc aujourd'hui à l'Élysée. Qu'en pensez-vous ? Est-ce qu'il faut le recevoir ? Ou est-ce que c'est prendre...
- Un certain risque sur la scène internationale, entre guillemets. Là aussi, j'aimerais vous entendre. Et puis tiens, on peut parler aussi de football. Pour une fois, sur la chaîne du rugby.
- Du football aussi parce que chaque, évidemment, soir, nous avons les vraies voix du foot. Mardi, mercredi et jeudi soir, bien sûr.
- Et parce que le PSG joue ce soir un match contre Arsenal pour une place en finale de la Ligue des champions contre les Italiens de l'Inter de Milan qui ont réussi à faire mordre la poussière hier soir au Barça.
- Qui était grandissime favori et qui s'est incliné avec, après un festival de but, on vous dira tout dans un instant.
- La mensualisation du salaire. Vous savez qu'évidemment, ça existe depuis les années 70. C'était sous la présidence de Georges Pompidou.
- De façon récurrente, il y a cette idée qui revient. Et si, finalement, on était payé à la semaine, un salaire toutes les semaines ? Parce qu'un Français sur quatre est à découvert dès le milieu du mois, le 16-17 du mois, d'après une enquête.
- Alors, est-ce qu'il faut aller vers cela ? Est-ce que ça va changer quelque chose ? 0-826-300-300. Vous êtes nombreux au standard.
- Florence de Rambouillet est avec nous. Bonjour, Florence.
- Bonjour, Patrick. Je suis très contente de pouvoir vous parler. Ça ne sert pas à parler de foot.
- Parce que moi, je n'y connais rien. On en parle pas mal dans la boulangerie.
- Vous n'êtes pas trop.
- C'est une bande de boulangerie du côté de Rambouillet, justement, en Ile-de-France.
- Et alors, sur cette idée du salaire hebdo, Florence ? Alors, moi, je n'ai pas l'impression que ce soit vraiment une demande des salariés.
- Parce que, bon, là, c'est vrai que...
Transcription générée par IA