Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio. Je tiendrai le discours de la vérité. La vérité en face. Ma méthode est claire, elle reste la même. Dire la vérité même quand ça fait mal. Patrick Roger.
- La vérité en face. Donald Trump à l'attaque en permanence. Une Chine toujours plus conquérante. Comment se défend vraiment l'Europe ? Et bien sûr la France.
- L'industrie française européenne est-elle en danger ? Est-ce qu'on peut résister à cette reconfiguration brutale du monde ? Pour en parler tout à l'heure à 9h30, je vous donne rendez-vous avec un homme rare à la parole libre.
- C'est Philippe Camus, l'ancien président d'Airbus. Aujourd'hui président d'honneur d'une association encore qui travaille autour de l'industrie en France.
- On l'évoquera donc à ces grandes questions évidemment. Il est aussi passionné par l'intelligence artificielle.
- Il nous dira que partout en France, on pourra utiliser demain cette intelligence artificielle à condition évidemment qu'on se réveille pas trop tard.
- Bien sûr. D'ici là, tous les sujets dans l'actualité. Vous avez entendu Laurie bien sûr tout à l'heure.
- Les rodéos urbains avec cet élu qui a été roué de coups en Gironde ce week-end et qui a témoigné sur Sud Radio.
- Des rodéos sauvages qui existent un peu partout malheureusement sur tout le territoire.
- Un peu partout aussi en France. Il n'y a plus de lieu sûr.
- Qui l'a dit ? C'est Gérald Darmanin. Vous pouvez réagir 0826 300 300. Est-ce que vous le constatez ? L'emploi des seigneurs.
- Il faut un nouveau cadre pour cet emploi des seigneurs parce que c'est la ministre elle-même du travail qui le dit.
- Il y a quand même un gros problème. Il y a un gros problème parce qu'on a peur du déclassement quand on arrive effectivement à un seigneur et que les entreprises ne recrutent toujours pas. Là, j'aimerais vous entendre 0826 300 300.
- Et puis, on va parler aussi d'un autre sujet qui concerne les réseaux sociaux.
- Oui, sur les réseaux sociaux.
- Il y a un peu moins visiblement d'abonnés sur Twitter en Europe et puis en France.
- Ça a baissé de 2 millions et demi a priori selon des chiffres qui ont été publiés.
- Est-ce que c'est vrai ou pas depuis l'arrivée de Donald Trump, d'Elon Musk ? Ça, ce sont les chiffres réels du côté de Twitter. On disait que non, ça fonctionnait toujours bien.
- Alors, il y a d'autres réseaux qui évidemment aussi se développent en parallèle et qui étaient déjà là auparavant.
- Facebook, Meta qui continue, LinkedIn et beaucoup d'autres, Insta, TikTok.
- Il y a Blue Sky également. Il y a certains réseaux comme ça qui émergent.
- Est-ce que vous les utilisez ? Est-ce que vous changez vos modes de consommation ? Jean-Louis Darl est avec nous au 0826 300 300. Bonjour Jean-Louis.
- Bonjour.
- Est-ce que vous utilisez Twitter de plus en plus, de moins en moins ou pas du tout ? Plutôt de moins en moins.
- De moins en moins. Pourquoi ? Écoutez, c'est amusant. Je pensais après l'appel de notre ami du standard, Manu, aux questions qu'il m'a posées.
- Ça m'a rappelé le départ, vous savez, de la Cibi. Je ne sais pas si vous vous rappelez de ce truc-là.
- On avait des petits postes de radio dans les voitures. Moi, quand j'étais étudiant, j'avais ça.
- On pouvait se parler d'une voiture à l'autre.
- Oui, c'est vrai.
- C'était assez pratique.
- Et puis, d'un coup, ça a été...
- C'était ouvert complètement et c'est devenu une cacophonie invraisemblable.
- Et on s'est tous plus ou moins arrêtés de s'en servir parce que c'était inutilisable.
- C'est un peu la même impression que j'ai aujourd'hui avec ça.
- Facebook, c'est un peu différent parce qu'on est sur des réseaux fermés les uns avec les autres.
- X, c'est insupportable.
- On est sollicité régulièrement par des gens mal élevés qui parlent un français approximatif.
- Il faut lire un nombre invraisemblable de messages stupides.
- C'est pour trouver quelque chose d'à peu près cohérent.
- Et du coup, forcément, en attendant, ça s'est dévoilé un peu.
- Mais ça, est-ce que c'est lié à l'arrivée d'Elon Musk à la tête de X, Twitter ? Ou c'était déjà auparavant ? Je me souviens, Jean-Louis.
- Je m'attendais à votre question.
- Alors, je voudrais vous rassurer...
Transcription générée par IA