Retranscription des premières minutes :
- 16h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delovalle.
- Bonjour à tous et bienvenue dans C'est votre avenir, votre rendez-vous sur Sud Radio pour vous connecter et reconnecter tout simplement à ce qui compte vraiment pour vous et aussi avec vos ressentis, vos choix et ce que la vie vous murmure parfois un peu trop fort à l'oreille.
- Alors il est 16h, on est ensemble pour une heure de vérité douce, d'intuition et de décision à prendre et si parfois il fallait juste dire stop.
- Et oui, stop à ce qui abîme, stop à ce qui encombre et stop à ce qui ne vibre plus.
- Aujourd'hui on va parler de ces moments où le ras-le-bol devient salutaire.
- Un petit rappel justement par rapport à nous, chers auditeurs, nous sommes en direct donc profitez-en pour appeler.
- Et à l'antenne Sud Radio 0826 300 300, toute cette semaine nous serons en direct avant que la saison se termine et vous pourrez retrouver toutes les émissions en podcast et puis nous aussi nous avons sélectionné de nombreuses émissions, les meilleures de l'année pour que vous puissiez tout cet été être accompagnés.
- Alors le standard est ouvert avec ZAC 0826 300 300.
- Sud Radio c'est votre avenir, Alexandre Delovalle.
- Alors vous savez qu'il y a des jours on est fatigué, oui ça arrive parfois mais d'une fatigue qui ne vient pas du corps mais une fatigue de l'âme.
- Du genre trop, c'est trop et ce que j'ai appris c'est quand cette lassitude revient souvent, c'est un signal, c'est une forme d'appel, un besoin de reprendre les rênes et il faut justement faire appel à cette humeur de nettoyage, d'élagage, j'ai même envie de vous dire, on ne subit pas tout, on peut changer.
- Alors parfois un petit pas, parfois un grand saut mais toujours un mouvement vers soi et dire stop à ce qui devient toxique et polluant, et bien il faut absolument agir et faire en sorte que votre vie devienne beaucoup plus sereine et beaucoup plus apaisante.
- Donc n'hésitez pas à dire stop, à prendre du recul et à prendre les bonnes décisions.
- Et je vais accueillir à présent Marie-Jo, bonjour Marie-Jo.
- Bonjour.
- Je suis Alexandre, très heureuse de vous avoir aussi.
- Merci Marie-Jo.
- Merci de m'avoir choisi et de m'avoir accueillie aussi.
- J'écoute régulièrement vos émissions et voilà, ce soir, je suis avec grand plaisir.
- D'accord Marie-Jo.
- Vous nous appelez d'où, du Gard Marie-Jo, c'est ça ? Oui, j'appelle du Gard, oui.
- D'accord.
- Alors justement, aujourd'hui, on parle un petit peu de dire stop quand on en a trop.
- Dans la vie, on ne peut plus assumer certaines choses.
- Est-ce que vous arrivez, vous, justement, à mettre des barrières, à vous protéger et à dire stop ? Oui, je l'ai fait quelques années. J'ai dit stop.
- Vous avez dit stop.
- J'ai dit stop en me boursant, en prenant ma retraite et en même temps, en venant à la maison, j'ai dit stop au bout de 40 ans.
- Au bout de 40 ans, d'accord.
- Aujourd'hui, j'imagine que vous vous sentez mieux ? Il n'y a pas faute.
- Il n'y a pas faute.
- J'ai regretté, la période a été difficile à traverser malgré tout, mais il fallait le faire pour me ressentir, pour être de nouveau connectée avec ce que je suis.
- Parfois, dans la vie, sinon on se perd.
- Alors, au bout de 40 ans de mariage, vous avez tout envoyé bouler, comme on dit.
- Oui, c'est ça.
- Vous avez envoyé bouler le mari, la maison, le travail, tout, quoi.
- Tout.
- Bon, après, que ce soit la maison ou le travail, bon, ça suffit que, bon, il fallait le faire en même temps, quoi, voilà.
- Il fallait passer à autre chose, donc, oui, j'ai tout fait la même année, c'est vrai.
- D'accord.
- Et aujourd'hui, alors, vous avez fait ce choix, il y a combien de temps à peu près, de tout changer ? Une dizaine d'années.
- Une dizaine d'années.
- Et vous avez su, pour reconstruire, convenablement, et à l'image de ce que vous êtes aujourd'hui, est-ce que vous avez ce sentiment d'avoir été dans cette bonne reconstruction ? Complètement.
- Oui.
- Complètement, parce que, bon, les enfants faisant leur vie, en étant...
Transcription générée par IA