Retranscription des premières minutes :
- 16h17, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delovalle.
- Bonjour à toutes et à tous, ravi de vous retrouver mes chers auditeurs pour une nouvelle parenthèse lumineuse dans C'est votre avenir sur Sud Radio.
- Et oui, laissez le quotidien au seuil de cette heure, ici on parle vrai, on parle cœur.
- Et surtout on écoute ces petits signes qui font toute la différence.
- Alors c'est le moment idéal pour recevoir les messages qui guideront votre futur.
- Vous avez sûrement des questions, des doutes, des préoccupations.
- Le standard est ouvert avec Zach, il est fidèle au poste, 0826 300 300.
- Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delovalle.
- Et ce matin, je me suis posé la question, est-ce le début des vacances avec ce parfum de liberté dans l'air ? En tous les cas, aujourd'hui.
- Je me sens légèrement flottant, comme suspendu entre deux souffles, entre deux envies.
- L'instant présent m'enlace doucement et je vous invite justement à le savourer avec moi.
- Et si on s'offrait ce luxe rare, ne rien forcer, juste ressentir.
- D'ailleurs, on va démarrer tout de suite avec une première histoire qui peut nous parler à tous, celle de Corine que je reçois présent.
- Bonjour Corine.
- Bonjour Alexandre.
- Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Corine.
- Merci.
- Vous nous appelez d'où ? Je vous appelle de la région bordelaise.
- De la région bordelaise.
- Vous êtes une fidèle auditrice ? Absolument.
- Absolument.
- Bon, mais surtout ne changez rien, d'accord ? Corine, vous, votre humeur du jour, elle est comment aujourd'hui ? Aujourd'hui, j'ai beaucoup de tristesse et de déception en fait.
- Vis-à-vis de votre entourage, vis-à-vis de votre situation professionnelle, personnelle ? Pour quelles raisons ? Alors, vis-à-vis de la situation professionnelle de ma fille et de la mienne.
- Parce que ma fille a pris son licenciement hier.
- Oui.
- Voilà.
- Et moi, je suis dans une situation professionnelle où je me pose beaucoup de questions.
- J'ai lancé une conciergerie avec ma fille depuis le mois de mars.
- Donc, le démarrage est un petit peu difficile.
- Et...
- Actuellement, je suis agent commercial.
- Et la société avec laquelle je travaille est en train de se casser la figure.
- Et voilà, je voudrais savoir s'il va y avoir des jours meilleurs.
- Parce que là, j'ai l'impression d'être dans le tambour d'une machine à laver.
- Vous avez le sentiment d'être au bord d'un précipice ou pas ? Pas un précipice parce que je suis...
- Je reste confiante.
- Vous restez confiante.
- Donc, déjà, ça me rassure.
- Votre réponse est rassurante.
- Il faut rester...
- Il faut rester confiante, pardon.
- Et effectivement, il y a des moments dans la vie où on passe par des périodes de fragilité, des périodes de réflexion, des périodes de doute.
- Mais c'est important.
- Et je pense qu'aussi, ces périodes-là sont nécessaires pour se remettre en question, non ? Absolument.
- Absolument.
- Alors, aujourd'hui, vous êtes dans une activité...
- Vous avez une activité professionnelle.
- La société, elle, vit ses propres difficultés.
- Et je pense que...
- Est-ce que vous êtes tout à fait consciente que vous êtes face à un changement puisque vous avez décidé d'entreprendre un nouveau projet dans la conciergerie ? Et pour quelles raisons, la conciergerie ? Parce que, moi, pendant mon expérience en tant qu'agente commerciale, j'ai eu beaucoup de déplacements.
- Donc, j'ai visité beaucoup d'appartements.
- Et ça...
- Ça a allumé une lumière, en fait, quelque part.
- Et je me suis dit, j'aimerais bien m'occuper d'appartements.
- Et puis, j'ai un vieux rêve qui traîne d'ouvrir des chambres d'hôtes.
- Oui.
- Donc, je me suis dit, la conciergerie, en fait...
- Bon, après, en fouillant, en trouvant des solutions, parce que ça fait un an que je cherche, j'ai trouvé une formation, justement, pour ouvrir cette conciergerie.
- Formation qui est très intéressante et enrichissante.
- Et je me suis dit, pourquoi pas ? Et en fait...
- L'idée, c'était de faire un complément de revenu, de faire une reconversion, de préparer ma retraite.
- Et puis, comme ma fille a travaillé dans l'immobilier aussi, je me suis dit, ça serait une belle expérience qu'on pourrait vivre toutes les deux.
- Bien sûr.
- Et puis, surtout, quand on s'épanouit dans un travail où c'est notre propre vocation, il n'y a rien de mieux que d'être complètement épanoui...
Transcription générée par IA