Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, c'est votre avenir, 16h17h avec Marie.
- Bonjour à tous nos auditeurs Sud Radio et bienvenue dans C'est votre avenir sur Sud Radio.
- En ce 14 juillet, qui est quand même une fête nationale en France, qui nous rappelle la prise de la Bastille, un événement majeur de la Révolution, le 14 juillet 1789, cette journée symbolise la fin de la monarchie absolue et le début de la République.
- Alors chers auditeurs, aujourd'hui c'est notre dernière en direct sur Sud Radio, alors j'espère que vous allez faire exploser le standard parce que Zach vous attend impatiemment.
- Donc vous pouvez nous appeler pour poser toutes vos questions sur votre avenir, que ce soit sentimental, professionnel ou autre, appelez-nous au 0826 300 300, Zach vous attend.
- Sud Radio, c'est votre avenir, 16h17h avec Marie.
- Et j'ai le plaisir d'accueillir...
- Sur Sud Radio, Martine. Bonjour Martine.
- Oui, bonjour Marie.
- Vous nous appelez d'où Martine ? Alors de la région PACA, pas très loin d'Avignon.
- Pas très loin d'Avignon. Alors, qu'est-ce qui vous arrive ? Alors moi j'ai un fils, il a 47 ans, il a une petite fille de 8 mois, donc c'est récent, il a 47 ans et il se retrouve absolument sans travail.
- Et donc en plus il est terrible avec moi, il me parle d'une façon, peut-être parce qu'il n'est pas bien, mais bon...
- Assez durement, voilà.
- Et il pense que je l'aide un petit peu, mais il voudrait sans doute que je l'aide énormément.
- Et évidemment, il n'a pas de toit sur la tête et il vit dans une ville très chère.
- Voilà.
- Donc c'est compliqué.
- C'est dur pour moi, mais c'est dur pour lui à mon avis.
- Et donc je m'inquiète, est-ce qu'il va s'en sortir ? Parce que là c'est mal barré.
- Alors non, non Martine, on va positiver pour lui.
- Parce que si on commence...
- Rentrer dans le négatif, ça va être dur.
- Je connais tout ça.
- Et oui, et oui, et oui.
- Alors parfois, il faut attendre un petit peu, être patient, parce qu'on a beau positiver, ça ne vient pas tout de suite et on se dit mince, quand est-ce qu'on va voir le jour ? Et c'est le cas aujourd'hui pour vous.
- Et c'est pour ça que vous nous appelez sur Sud Radio.
- Alors Martine, moi je suis tranquille, je suis rassurée parce que ce que je ressens de votre garçon, j'ai du travail qui arrive.
- Alors le temps, je le dis à chaque émission, il faut toujours faire attention avec les temps.
- Je ressens quand même sur un hiver une nouvelle en lien avec sa situation.
- Mais j'ai l'étranger sur lui.
- Donc est-ce qu'il vit à l'étranger actuellement ? Il vit à l'étranger, oui.
- Il vit en Espagne, à Barcelone.
- D'accord.
- Pas sûr qu'il reste là-bas ? Parce que j'ai un autre pays, donc je pense qu'il peut quitter l'Espagne.
- Ou alors c'est que j'ai ressenti l'étranger parce qu'il était à l'étranger actuellement.
- Mais j'ai l'impression qu'il y a quand même un changement.
- J'ai un déménagement aussi.
- Oui, et je pense qu'il ne va pas travailler dans le pays où il est actuellement.
- Ah bon, parce que le déménagement, oui, s'il arrive à payer son loyer, il va être obligé de déménager dans un truc moins cher.
- Oui, mais ce qui est important, Martine, c'est qu'il va se relever de cette situation.
- Et ce déménagement peut-être va l'emmener à travailler ailleurs, dans un autre pays, mais il va s'en sortir.
- En revanche, avant ça, il y a juste encore un petit peu de stress à passer.
- C'est qu'il y a une petite crise avec sa compagne.
- Comment ça se passe en ce moment avec elle ? Je n'en sais rien.
- Moi, je les vois très peu.
- Et quand je les vois, ça a l'air bien.
- Mais voilà, je ne sais pas.
- La crise, sûrement, c'est comme les ânes, quand ils n'ont pas à manger de foin, disait ma grand-mère.
- Vous pouvez nous répéter ça ? Je ne sais pas si elle disait les ânes ou un autre animal, mais elle disait que quand les ânes n'avaient pas de foin à manger, ils se disputaient.
- Donc là, je ne sais...
Transcription générée par IA