Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, c'est votre avenir, 16h-17h, avec Marie.
- Bonjour à tous nos auditeurs Sud Radio et bienvenue dans C'est votre avenir, de 16h à 17h.
- Alors aujourd'hui, nous allons parler d'amour.
- Vous êtes nombreux à vous sentir seul à temps de l'amour.
- Alors pas celui qui dure quelques mois, oui, ni celui qui est caché, où vous êtes un second choix.
- Il est grand temps d'attirer la chance et le succès d'un amour que vous méritez.
- Alors, toute cette heure, je vais vous donner des clés pour déclencher cette chance, mais aussi pour pimenter l'amour pour les couples.
- Et puis bien sûr, si vous avez des questions sur votre avenir, je suis là pour vous répondre.
- Vous pouvez nous appeler au 0826 300 300.
- Zach vous attend au standard de Sud Radio.
- Sud Radio, c'est votre avenir, 16h-17h, avec Marie.
- Et j'ai le plaisir d'accueillir en première auditrice sur Sud Radio dans C'est votre avenir, Isabelle.
- Bonjour Isabelle.
- Bonjour Marie.
- Je suis ravie de passer un moment avec vous.
- Et bien, nous sommes ravies de vous recevoir sur Sud Radio.
- Vous nous appelez d'où Isabelle ? Alors, je vous appelle de Lod.
- Et moi, c'est pour vous faire surtout un retour de prédiction.
- Parce que je vous avais eu le 13 janvier pour le côté professionnel.
- Vous m'aviez dit de ne pas m'inquiéter, qu'au printemps-été, j'aurais un travail auprès d'enfants avec stabilité.
- Et donc, j'avais fait une demande, je ne sais pas si vous le savez, d'AESH.
- C'est-à-dire que c'est pour l'école inclusive, vous savez, pour aider les enfants en difficulté.
- Et donc, j'ai été recrutée.
- C'est-à-dire, j'ai eu un premier entretien le 13 juin.
- Le 16 juin, j'ai reçu un retour en me disant que je faisais partie du vivier parce que mon CV intéressait.
- Super.
- Voilà.
- Et je voulais savoir si vous me voyez effectivement travailler auprès d'enfants professionnellement.
- Voilà.
- Est-ce que ça va m'arrêter ? Est-ce qu'on va me contacter ? Et voilà, sachant que c'est aussi un travail à temps, est-ce que vous me voyez aussi peut-être un complément d'heure ailleurs ? Alors, le complément d'heure, je ne sais pas.
- En revanche, ce que je ressens, c'est que oui, c'est quelque chose qui va se valider.
- Mais je vous avais dit que ça se validerait, cette chose-là.
- Oui, parfait.
- Donc, c'est un grand oui, bien sûr, Isabelle.
- Vous n'avez pas de soucis à vous faire.
- Bon, bon, bon.
- Écoutez, déjà, c'est bien.
- C'est bon.
- J'étais ravie de tout ça.
- Mais après, voilà, c'est un mi-temps.
- Donc, est-ce que vous me voyez un complément d'heure ? Ou est-ce que ça va me suffire ? Parce que, bon, je suis quand même célibataire.
- Oui, ça, je ressens.
- Voilà.
- Et donc, voilà, je vous avais également appelé fin mars pour le côté sentimental.
- Et là, par contre, vous m'avez dit qu'il y aurait une rencontre un an dans un an, lors d'un déplacement, avec une personne que vous ne connaissez pas, de près de mon âge.
- Mais alors, c'est là où vous n'êtes pas trompée.
- C'est que vous m'avez dit, avant la rencontre, il y aura le changement professionnel.
- Et je parle de ce changement professionnel que vous avez dit.
- Et oui.
- Et donc, là, on est en plein dans le changement professionnel qui va se poser, d'abord.
- Donc, ça, c'est là.
- Alors, attention avec les temps, je le rappelle.
- On peut se tromper de quelques mois.
- Ça peut arriver.
- Ce n'est pas une science exacte.
- Attention.
- Mais pour le sentimental, vous voyez, je ressens, il y a un décalage.
- Moi, je ressens plus 11 mois.
- Donc, si je vous ai dit un an au mois de mars, c'est que ça s'est décalé un petit peu.
- Mais parce que, parfois, ça prend un peu plus de temps prévu.
- Oui, oui, oui.
- Voilà.
- Mais bon.
- Déjà, au niveau professionnel, ça sera validé.
- Oui, ça sera validé.
- Et le sentimental, par la suite, dans les 11 mois, il peut y avoir une rencontre, effectivement.
- Mais c'est chaque chose en son temps.
- Pour l'instant, c'est le professionnel qu'on met en place.
- Et ça, ça va se valider.
- Bon, ça, c'est une excellente nouvelle.
- Oui.
- Parce que, voilà, j'avais envie de...
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