Retranscription des premières minutes :
- 16h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delovas.
- Bonjour à tous, et oui, me voilà de retour après une petite escapade, les pieds dans l'eau.
- Alors, bienvenue dans C'est votre avenir, votre rendez-vous du cœur, de l'intuition et de la vérité intérieure.
- Et comme chaque après-midi sur Sud Radio, je suis ravi de vous accompagner dès 16h.
- Aujourd'hui, je vous propose une humeur du jour, celle de la lucidité.
- Elle ne fait pas mal, elle vous éclaire et elle vous aide aussi à voir un peu plus clair en vous, dans vos émotions, dans vos relations, mais aussi dans vos choix.
- Celle qui vous chuchote parfois et qui vous dit, tu mérites mieux que ce que tu fais mal.
- Alors, et si ce mercredi, vous permettez justement de faire un petit pas vers vous-même ? Vous le savez, cette émission, c'est la vôtre.
- Vous pouvez appeler dès maintenant au 0826 300 300.
- Et aujourd'hui...
- On a le plaisir d'avoir Aude Haussandard avec son sourire et sa bienveillance.
- Sud Radio, c'est votre avenir.
- Alexandre Delovane.
- Et à présent, j'accueille ma première auditrice, Aurore.
- Bonjour, Aurore.
- Oui, bonjour, Alexandre.
- Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Aurore.
- Merci de me recevoir.
- Alors, quelle est votre humeur du jour, Aurore, aujourd'hui ? Une humeur du jour ? Oui.
- Voilà.
- C'était toi.
- Un petit problème qui m'embête, qui m'empêche d'avancer dans ma vie parce que c'est ma vie relationnelle avec mon conjoint.
- Ils me touchent notamment dans mon travail en même temps.
- Voilà, je suis dans la fonction publique, je suis fonctionnaire.
- J'aurais dû être à la retraite depuis un an.
- Mais ce n'est pas possible, comme beaucoup de femmes.
- Je n'ai pas les amitiés requises.
- J'habite avec mon conjoint depuis deux ans maintenant, qui, lui, est à la retraite depuis.
- C'est plus de six ans, maintenant.
- Voilà, donc ça fait deux ans qu'on vit ensemble.
- Et au cours de ces deux ans, moi, à la fin, je suis arrivée...
- Quand je dis à la fin, c'est parce que je me suis...
- J'ai pris des congés, je suis partie à l'extérieur de la France.
- Oui.
- Voilà, et là, je disais à un sort parce que je suis partie seule.
- Voilà, et à mon retour, je dis que ce n'est pas possible, cette relation.
- Donc déjà, je lui avais dit que je le quitterais.
- Et puis, entre-temps, de là où j'étais, je me suis dit, je prends un bail, je finis un bail, voilà.
- Et puis, au retour, j'ai dit, voilà, ma décision.
- Et là, je m'en vais, j'ai fini un bail, et voilà.
- Et puis, finalement, non, non, non, bref.
- Mais, pardonnez-moi, Aurore, pour quelles raisons vous avez pris autant de distance avec cet homme ? Quels sont les événements sur lesquels ça vous a apporté un déclic et une prise de conscience, justement, à prendre un peu de distance et un éloignement ? Parce que...
- De vouloir partir, ça s'est reproduit plusieurs fois.
- Voilà.
- C'est un homme qui est adorable, donc on ne comprendrait pas, que j'aime, effectivement, mais qui m'interdit trop souvent de faire des choses et qui arrive facilement à me manipuler en me disant, finalement, que bon, ce n'est pas la meilleure solution, etc.
- Voilà, et donc, c'est encore un comportement.
- C'est un contrôlant ? Je le sens comme ça, oui, effectivement.
- Est-ce qu'il a un problème de confiance en lui ? Est-ce qu'il s'épanouit professionnellement ? Est-ce qu'il s'est réalisé dans sa carrière comme il le souhaitait, Aurore ? Oui, tout à fait.
- Tout à fait, d'accord.
- Et aujourd'hui, le fait qu'il soit peut-être à la retraite, il se sent peut-être diminué ou ne se sent pas être...
- contre de ce qu'il avait envie d'être ou de ce qu'il voudrait être aujourd'hui, non ? Oui, tout à fait.
- Il est arrivé des permis de santé, voilà.
- D'accord, ok.
- Alors, c'est peut-être ce qui explique aussi son comportement.
- Bon, peut-être qu'il a aussi son histoire du passé avec sa propre famille.
- Je sens peut-être aussi qu'il y a la relation avec la mère qui n'a pas été évidente pour lui.
- Je ne sais pas si vous connaissez un petit peu son histoire.
- Au contraire, il a eu des parents...
Transcription générée par IA