Retranscription des premières minutes :
- Vous aurez notre plein soutien pour que vous fassiez ce que vous avez à faire.
- Si le Hamas rejette votre plan, M. le Président, Israël terminera le travail.
- Vous ne savez pas que c'était aussi clair ? Ah si, si, j'ai peur.
- Nous sommes en guerre.
- Alors nous sommes en guerre ou nous ne sommes pas en guerre ? Est-ce que nous serons en guerre encore plus à Gaza demain si le Hamas refuse le plan de paix de Donald J. Trump ? Approuvé par beaucoup, beaucoup de pays.
- Ça va de la Russie au Qatar, vous voyez, en ce moment.
- Donc c'est très intéressant.
- On va en parler avec le géopolitologue Michel Fayet.
- Qui est spécialiste du Moyen-Orient.
- Qu'est-ce qui se passe ? Est-ce qu'on arrive enfin à quelque chose ? Ou est-ce qu'on va continuer à se battre jusqu'au dernier palestinien ? Ou jusqu'au dernier israélien ? Ou jusqu'au dernier Moyen-Oriental ? La guerre sans fin, comme en Ukraine peut-être ? Eh bien on va prendre le temps d'en parler.
- On va aussi parler de ce qui s'est passé.
- L'association SOS Chrétien d'Orient, qui défend les chrétiens d'Orient comme son nom l'indique, a été perquisitionnée par la police.
- Oui, pendant deux ou trois jours, ils sont accusés d'un certain nombre de choses.
- On va recevoir Benjamin Blanchard, le directeur général de SOS Chrétien d'Orient.
- Pourquoi une association comme elle est perquisitionnée par la police ? Il y a eu des plaintes, il y a eu quoi ? On va en parler.
- Et puis après, évidemment, un certain nombre de perles et d'applaudissements et de bravos, etc.
- On va recevoir le traducteur et l'éditeur, d'un livre tout à fait étonnant.
- Étonnant qui va provoquer d'énormes polémiques.
- Ça s'appelle le Q.
- Alors vous allez me dire, Q, oui, comme la lettre.
- La lettre Q, Q.
- Mais Q, la plus grande opération de réinformation de l'histoire.
- Vous allez voir, c'est absolument passionnant.
- C'est la guerre de l'ombre qui, aujourd'hui, elle a toujours existé depuis le Péloponnèse, depuis 3000 ans, mais aujourd'hui, avec les réseaux sociaux, avec l'informatique, c'est une guerre planétaire dans laquelle, vous entendrez parler de Donald Trump, de l'Arabie Saoudite, de Clinton, de Soros.
- C'est une construction tout à fait fascinante.
- On va en parler à partir de 13h.
- Donc, restez avec nous, attachez vos ceintures, ça va tanguer ! Le fait du jour, vous voulez dire les méfaits du jour ou la solution du jour.
- Pourquoi ? Parce qu'hier, Donald Trump, le président de la République, le président des États-Unis, a présenté, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU à New York, une nouvelle initiative, ce qu'il a appelé le Board of Peace, le bureau de la paix, pour mettre fin à ce conflit séculaire, depuis centenaires, qui oppose Israël, au monde arabe, en général, et aux Palestiniens en particulier, avec tout ce qui s'est passé à Gaza depuis deux ans et plus.
- Alors voilà, un plan qui prévoit, je résume rapidement, censé répondre à la fois aux préoccupations israéliennes et à celles des pays du Moyen-Orient, prévoit un cessez-le-feu permanent à Gaza, la libération de tous les otages israéliens, un retrait total de l'armée israélienne ainsi qu'un afflux d'aide humanitaire.
- Washington propose également une nouvelle formule de gouvernance pour Gaza, excluant le Hamas et l'autorité palestinienne.
- Alors, il se passe ceci, que très vite, très vite, très vite, un certain nombre de pays ont soutenu le plan de paix, ont dit oui, notamment, c'est intéressant, le Qatar, la Jordanie, les Émirats Arabes Unis, l'Indonésie, le plus grand pays musulman, le Pakistan, la Turquie, l'Arabie Saoudite, l'Égypte, la France, l'Italie, l'Espagne, la Russie, la Russie, et autres.
- C'est-à-dire, apparemment, un consensus assez quand même remarquable, puisqu'il inclut des gens qui, jusqu'à présent, n'étaient pas très enclins, en tout cas certains, à militer pour une paix.
- Alors, est-ce une paix ou est-ce un simulacre, ou quoi ? Bonjour, Michel Fayad.
- Bonjour, vous allez bien ? Ça va bien, et vous ? On est content de vous avoir, toujours.
- Michel Fayad, vous êtes géopolitologue, vous êtes spécialiste du Moyen-Orient.
- Alors, est-ce que bruit de bottes, ou au contraire, bruit de paix, je ne dirais pas de réconciliation,...
Transcription générée par IA