Retranscription des premières minutes :
- « Nous sommes en guerre. » « Moi, je ne suis pas candidat à la présidentielle. Il y en a trois, là, déjà. C'est tous les ministres. Branco, François Asselineau et Nicolas Dupont-Aignan. » « Il faut se rassembler. Il faut répondre aux Français. Oui, j'ai commis des erreurs. On en a tous commis. Mais parlons de la France. Parlons de la France. » Charlie Kirk est assis sur scène, micro en main, à droite de l'image, lorsque soudain...
- « Avant toute chose, évidemment, nul ne doit mourir pour ses idées politiques. » Un tir siffle dans l'air et touche au niveau du cou l'influenceur américain qui s'effondre sur sa chaise.
- « On n'avait pas peur de dire que les femmes noires n'avaient pas les capacités intellectuelles pour être prises au sérieux. » « You are faked. » « Nous sommes en guerre. » « Nous sommes en guerre, dit notre bien-aimé président de la République. Il parlait du Covid il y a cinq ans. Mais la guerre, comme on le dit, et vous le savez, continue.
- À bas bruit, à haut bruit, à tous les étages. Quelquefois, hélas, terriblement, avec des morts. Et puis quelquefois avec des mots. Mais les mots aussi peuvent faire mal. » Alors aujourd'hui, hier, comme vous le savez, hier, dans cette émission, on recevait Nicolas Dupont-Aignan et Florian Philippot.
- Enfin, Florian Philippot qui nous a appelés. Il y a eu une petite passe d'armes sur les souverainistes.
- Et on s'est dit qu'il y a quelqu'un, quand même, qu'il faut que nous ayons en studio. François Asselineau.
- François Asselineau, ça fait 18 ans qu'il dirige l'Union Populaire Républicaine. C'est bien ça dont il est président.
- On va en parler. Parce que souverainiste, comme vous le savez, tout le monde aujourd'hui parle de nation, parle d'indépendance, parle d'identité, etc.
- Et ce qui se revendique souverainiste, on va en parler, on va essayer d'expliquer, c'est quoi et pourquoi, effectivement, il n'y a aucune volonté d'union.
- Ou en tout cas, aucune vraie réussite d'union.
- Alors que, à certains, François Mitterrand...
- Il y a plus de 40 ans, avait fait son programme commun avec des gens qu'il adorait, les communistes.
- On va en parler avec François Asselineau, et on prend le temps d'en parler.
- On va ensuite recevoir la députée européenne Virginie Geron, qui va expliquer comment, avec Chat+, oui, Chat, vous savez, Chat, j'ai pété.
- Comment aujourd'hui, on va surveiller la vie privée. On va surveiller la vie privée, plus que jamais.
- Évidemment, évidemment, sous couvert de préserver la liberté, justement.
- La liberté qui ne s'use que si l'on ne s'en sert pas. Ne l'oublions pas.
- Et puis, et puis...
- Le journaliste du monde, écoutez, qui était sur France Inter hier, et une grande leçon de journalisme, vous allez voir.
- Et avec, ensuite, nous allons recevoir, pour la culture dans tous les états, avec Céline Alonso, nous allons recevoir, et puis écoutez, une formidable encyclopédie, un grand hommage à Orwell, l'encyclopédie des euphémismes avec Samy Biazoni, comment on change les mots.
- C'est-à-dire qu'aujourd'hui, les mots ont changé de sens, et les sens ont changé de mots.
- Pourquoi ? On en parle tout à l'heure.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états, le fait du jour.
- Eh bien, le fait du jour, c'est évidemment, on est le 18 septembre, eh bien, bloquons tous, disent un certain nombre de syndicats, d'associations, de citoyens, voilà.
- Aujourd'hui, effectivement, un certain nombre de manifestations, quelques interpellations déjà, les défilés, etc.
- Et rappelons-nous, le 10 septembre, il y a huit jours, c'était également bloquons-tout, avec d'autres, effectivement, qui avaient essayé de monter les choses.
- François Asselineau, bonjour.
- Bonjour André Bercov.
- Vous êtes président, je le rappelle, on le sait, de l'UPR.
- Nous allons parler, effectivement, des sujets que vous mettez en avant et que vous mettez en lumière depuis des années, depuis au moins 18 ans et même plus.
- Mais je voudrais savoir, ce genre de manifestation qu'on voit, effectivement, alors j'adore, on entend d'un côté, mais il faut manifester, le droit à manifester, il est à la République, mais attention aux casseurs, mais attention à ceux-ci, mais attention à l'extrême droite, mais attention à l'extrême gauche, etc.
- Quel est votre sentiment...
Transcription générée par IA