Retranscription des premières minutes :
- Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Charlie Kirk, je vais vous dire que nous allons recevoir en seconde partie d'émission Julie Lévesque, la journaliste québécoise, est dans le Utah où a eu lieu l'assassinat de Charlie Kirk.
- Elle a enquêté là-bas, elle va nous dire beaucoup, beaucoup de choses sur ce qui s'est passé réellement et qui sont véritablement aujourd'hui les assassins de Charlie Kirk.
- On commence vraiment à le savoir.
- Et puis nous allons parler économie avec cette note dégradation.
- Ficht, oui, oui, Ficht.
- Oui, oui, il paraît qu'on était à A, A prime, A plus.
- Maintenant on est à, et un jour on fera A, A, A.
- Mais j'espère que ce ne sera pas le râle de la France agonisante.
- Ce n'est pas ça qu'on veut.
- On se retrouve tout de suite avec Éric Zemmour.
- A tout de suite.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états, le fait du jour.
- Le fait du jour, eh bien c'est ce qui s'est passé, il faut le dire.
- C'est le fait du jour, c'est le fait d'avant-hier.
- Mais les répercussions et les ondes de choc sont là.
- Ce qui s'est passé à Londres, à Londres bien sûr.
- Au moment de la manifestation organisée par Tommy Robinson pour la liberté d'expression, pour les problèmes d'immigration, pour les problèmes de retrouver qu'est-ce que c'est qu'être anglais.
- C'est vrai qu'on se demandait là, depuis quelques temps, ce qui se passait en Angleterre.
- On était assez, je dirais assez troubles, c'est le moins que l'on puisse dire.
- On se demandait que l'Angleterre de Winston Churchill, est-ce qu'elle est morte et enterrée ? Eh bien, il s'est passé...
- Il s'est passé beaucoup de choses.
- On va en parler juste tout de suite avec Éric Zemmour.
- Bonjour Éric Zemmour.
- Alors, vous étiez à Londres donc samedi.
- Vous avez assisté à la manifestation.
- Vous avez parlé d'ailleurs.
- Il y avait Elon Musk aussi qui a pris la parole.
- Vous, vous étiez là.
- Et au fond, qu'est-ce qui a retiré ? Alors, il y a eu évidemment toute la polémique.
- 110 000 selon la police, 3 millions selon les organisateurs, on connaît ça.
- Mais c'est vrai que pour qui a regardé par les drones, et par ceux qui ont surplombé la manifestation, ils étaient en tout cas, franchement, personne ne peut le nier, beaucoup plus que 100, 120 000 en tout cas.
- Je pense vraiment que...
- Je ne sais pas parce que moi, franchement, je ne rentre jamais dans ce genre de querelle parce que je suis incapable de compter.
- Mais en tout cas, ce qui est sûr, et vous avez raison, on le sentait quand on y était parce qu'il y avait des gens devant, il y avait des gens qui étaient sur les façades des immeubles à côté.
- Enfin, vous voyez, il y avait des gens partout.
- Et quand j'ai vu, comme vous, les images par les drones, de la télévision britannique, on voit que ça m'a fait penser, vous savez, à la célèbre phrase du général de Gaulle quand il défile, il descend les Champs-Élysées à la libération août 1944.
- C'est la mer.
- Il dit, c'est la mer.
- C'est la mer.
- Je vous assure, j'ai immédiatement pensé, en voyant ces images, je me suis dit, là, c'est la mer.
- Quand il y a du monde comme ça, je pense que c'est au-delà de plusieurs centaines de milliers, voire un million.
- Mais peu importe, vous avez raison.
- Alors, qu'est-ce que ça traduit, justement ? Deuxième chose, moi, je vais vous dire, j'ai entendu...
- Vous savez que mon anglais n'est pas brillant, mais quand même, je sais reconnaître des slogans quand ils sont répétés, même en anglais.
- Il y a eu deux slogans répétés sans cesse et qui vont vous donner la température de cette immense manifestation.
- Le premier, c'est « send them back ».
- Ça veut dire « renvoyez-les ».
- C'est pas « remigration ».
- Exactement, « remigration ».
- « Send them back », oui, « renvoyez-les ».
- « Send them back », « renvoyez-les ».
- Et le deuxième, le second slogan, pardon, c'était...
- « We want our country back ».
- Ce qui veut dire, évidemment, « nous voulons retrouver notre pays...
Transcription générée par IA