Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio, midi 14h, Alexis Poulin sans réserve. » « Comment voulez-vous être populaire dans une situation comme celle-là ? » « Ah ben vous n'avez rien fait encore. » « Je n'accepte pas que vous riez. » « Je trouve quand même qu'il est courageux, le président de la Cour des comptes. Est-ce qu'il y a quelqu'un qui l'écoute ? » « Être impopulaire, ça n'est pas grave si on fait quelque chose. » « Des habitants ukrainiens, à nouveau désemparés face à une frappe de drone russe. » « Ça va pas suffisamment mal pour que ça commence à aller mieux. » « Il est passé loin puis a soudainement fait demi-tour et nous avons entendu une explosion. On s'est tous mis à courir. » « Du misérabilisme budgétaire ou un nouveau gros mensonge politique. » « Je suis un néophyte. » « On n'arrête pas de nous dire qu'il n'y aura pas de hausse d'impôts. » « Inch'Allah. » « On n'arrête pas de nous dire que ça va bien se passer. » « Inch'Allah. » « On n'arrête pas de nous dire que cette fois-ci c'était la bonne. » « Est-ce que je peux faire un selfie parce que ma mère vous adore ? » On va parler évidemment de François Bayrou dans l'édito et sa vie, son œuvre.
- On va parler également de Boilem Sansal et Christophe Glaise et de ces prisonniers français en Algérie.
- Que faut-il attendre du régime algérien avec Arnaud Benedetti qui sera notre invité, qui est fondateur du comité de soutien international à Boilem Sansal, rédacteur en chef de la revue Politique et Parlementaire.
- À 12h30, Philippe Béchade, économiste, rédacteur en chef des publications à Gara, sera notre invité pour parler du rapport de la Cour des comptes, la France en faillite.
- Que faut-il attendre de François Bayrou ? Ça, ce sera l'édito.
- Et puis, on se retrouvera à 13h avec François Martin, géopolitologue, auteur de « L'Ukraine, un basculement du monde » pour parler de ses frappes russes les plus fortes depuis le début de la guerre, plus de 500 drones sur l'Ukraine et des coups de fil Trump-Poutine et Macron-Poutine qui visiblement n'ont pas changé la ligne du Kremlin.
- Voilà, on est ensemble jusqu'à 14h, c'est Poulain sans réserve, 0800 26 300 300 pour le standard.
- Vous êtes sur Sud Radio.
- Et on va tout de suite enchaîner avec notre invité.
- Alexis Poulain, sans réserve, l'invité.
- Bonjour Arnaud Bédédetti.
- Bonjour Alexis.
- Alors, on a eu cette semaine la confirmation du verdict pour Boilem Sansal et puis la nouvelle aussi d'un journaliste français, Christophe Glaise, lui aussi condamné à plusieurs années de prison.
- Que se passe-t-il en Algérie et où en est-on aujourd'hui du soutien diplomatique, politique, consulaire pour ces deux détenus et particulièrement Boilem Sansal qui est âgé, on le rappelle, malade et depuis plusieurs mois déjà détenu en Algérie ? Est-ce que vous pouvez nous faire un point ? Le point est très simple, c'est qu'on est à 24h de la fête nationale algérienne et que l'on attend une hypothétique pour l'instant grâce du président Teboul concernant notre ami Boilem Sansal dont je rappelle en effet qu'il a été condamné à 5 ans de prison.
- Confirmation ferme, confirmation du jugement de première instance mardi dernier.
- Donc on est tous tournés maintenant les yeux vers Alger.
- Sachant que depuis finalement 24h nous avons des signaux tout à fait contradictoires ce qui fait qu'on n'y voit pas beaucoup plus clair qu'en début de semaine mais on croise les doigts et on appelle évidemment un geste humanitaire du président algérien compte tenu de l'âge et de l'état de santé de Boilem Sansal.
- Il est clair que si dimanche malheureusement la situation n'avait pas évolué on se retrouverait évidemment dans un contexte particulièrement difficile qui nécessiterait en tout cas de réviser vraisemblablement la stratégie qui a été celle de la France depuis maintenant l'arrestation de Boilem le 16 novembre dernier c'est-à-dire il n'y a plus de...
- Mais justement...
- C'était quoi la stratégie de la France ? Parce qu'on a vu d'un côté Bruno Retailleau qui se voulait ferme avec le régime algérien et puis de l'autre côté, côté Élysée,...
Transcription générée par IA