Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Frédéric Bradel.
- Bonsoir à tous. Tiens, il y a un pont. Je me disais, je vais venir les voir.
- Voilà, on salue Cécile de Ménibus et Philippe David.
- J'ai le plaisir de vous retrouver pour ces deux soirées des Vraies Voix.
- À votre sommaire, le grand débat du jour à 17h30.
- François Bayrou a commandé un travail aux députés pour remédier à la recrudescence des attaques au couteau impliquant des adolescents.
- En réponse, 53 propositions ressortent d'un rapport fourni par une mission parlementaire.
- Beaucoup d'évidence et un thème objet de la question que nous vous soumettrons sur le compte X de Sud Radio et à l'antenne avec nos Vraies Voix.
- Deux points. Port d'armes blanches par les mineurs.
- La vidéoprotection dans les établissements scolaires est-elle une solution efficace ? Vous réagirez, nous aurons un porte-parole de la Fédération des parents d'élèves pour nous éclairer.
- Et puis le coup de projecteur.
- À 18h40, c'est l'info de la nuit en France.
- L'Assemblée nationale a approuvé la suppression des zones à faible émission.
- Les ZFE qui restreignent la circulation de certains véhicules thermiques dans les centres-villes.
- Un pied de nez à l'écologie punitive et recule dans l'engagement écologique.
- Ou alors les réactions bien sûr se multiplient, vous nous direz.
- Pour réfléchir au problème, nous vous proposons la question sans doute à la base du problème.
- Les voitures doivent-elles avoir accès au centre-ville ? Oui, non ou sous condition ? Là aussi, vous donnez votre avis au 0826 300 300 pour intervenir sur le sujet.
- Et puis vous répondez à la question sur les réseaux sociaux de Sud Radio.
- Raphaël Rémy-Leleu, conseillère écologiste de Paris Centre, nous donnera son point de vue.
- On a déjà une idée.
- Allez, c'est parti, présentation des vraies voix.
- Les vraies voix Sud Radio.
- Il participe encore une fois ce soir à notre ascension commune vers la recherche de la vérité.
- Philippe Bilger, président de l'Institut de la Parole.
- Est-ce que je vais tenir la dragée haute à la journée de l'ascension ? J'en doute.
- Je vous fais confiance et je suis confiant moi-même.
- Nous accueillons Rislène Sélika, journaliste d'investigation. Bonsoir.
- Bonsoir Frédéric.
- C'est notre première ensemble.
- Oui, c'est notre première.
- Et je vais vous dire, c'est aussi la première en ce qui me concerne avec Samuel Botton, expert en communication chez Step Conseil.
- Tout à fait, avec un plaisir immense.
- On n'a pas nos repères, on avance en aveugle.
- Heureusement, il y a la référence totale.
- Philippe Bilger qui est avec nous.
- Mais je connais Samuel.
- J'ai sorti pour vous ma plus belle voix de radio.
- Mais je l'entends. Je l'entends et je l'ai reconnu tout de suite.
- Très bien, nous fonçons au 0826 300 300.
- C'est Sarah qui nous appelle de Belle Garde dans le Gard, qui va être notre auditrice fil rouge.
- Bonsoir Sarah.
- Bonsoir tout le monde. Bonsoir à toute l'équipe.
- Ça nous fait plaisir de vous avoir parce que, bon, vous faites le pont ou pas vraiment ? Non.
- Oui, oui, si, si, je fais le pont, mais je suis chez moi tranquillement.
- Il fait beau dans le Gard. On a de la chance. On voit du soleil.
- Vous avez entendu Rémi André.
- En plus, il est sûr que ça va durer pour au moins jusqu'au week-end.
- Bon, Sarah, vous êtes professeure, je crois, professeure des écoles dans la vie.
- C'est cela ? Je suis professeure en collège, en fait.
- Et donc, vous vouliez porter un petit coup de gueule sur les conditions de recrutement.
- Nous vous écoutons avec les vrais voix.
- Et nous en débattons. Allez-y.
- Oui, mais ce sont des choses que vous dites des fois.
- Il y a des experts chez vous qui se connaissent bien.
- Tu sais, si vous voulez, on s'étonne toujours de l'effondrement du classement PISA.
- Cet effondrement est multifactoriel.
- Mais il est certain que la formation et le recrutement des enseignants est un énorme facteur.
- Et là, Mme Borne a annoncé qu'on allait recruter un bac plus 3.
- Alors, il faut savoir qu'un professeur normal est bac plus 5 et même plus.
- Moi, par exemple, je suis bac plus 12.
- Bon, ça n'empêche.
- Plus on parle des problèmes d'autorité.
-...
Transcription générée par IA