Retranscription des premières minutes :
- Vous avez fait le bon choix, vous êtes sur Sud Radio, il est 8h01.
- Bonjour Laurie Leclerc, bonjour Maxime, bonjour à tous.
- Et on ne peut pas commencer la journée sans un rappel des titres et sans un journal complet.
- Le gouvernement d'abord qui souhaite interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans et des applications utilisées par les trafiquants de drogue pour recruter des mineurs.
- Les autres titres de l'actualité également Laurie.
- Emmanuel Macron ce soir face aux Français, 2h30 de questions réponses sur les grands sujets d'actualité.
- Le débat sur la fin de vie à l'Assemblée Nationale mais aussi au cœur des services de soins palliatifs.
- Reportage Sud Radio auprès de soignants premiers concernés par d'éventuelles nouvelles mesures.
- Plus de 600 emplois supprimés, cher Solor Mittal.
- Les salariés manifestent aujourd'hui près de Paris pour stopper le plan social du géant de l'acier.
- Et puis les réseaux sociaux Laurie, on en parle beaucoup.
- Le gouvernement est en croisade contre Snapchat, TikTok ou encore Instagram et ils seront peut-être totalement interdits aux plus jeunes.
- La France veut en tout cas empêcher l'accès aux réseaux sociaux aux moins de 15 ans et appelle à un front européen pour imposer des règles très strictes à ces messageries.
- Des plateformes qui servent aussi d'appât aux narcotrafiquants.
- Lionel Maillet, les dealers y recrutent de plus en plus souvent de très jeunes mineurs.
- Lunettes de soleil et capuches pour dissimuler leur visage au pied des tours des cités marseillaises.
- Des guetteurs venus parfois de loin confient ce policier chargé de faire de la prévention.
- De plus en plus de jeunes de région parisienne pour faciliter la main d'oeuvre.
- Travailler une seule journée pour 80 euros, 100 euros.
- De l'argent facile, tu t'assoies sur la chaise, dès que tu vois la police tu cries.
- A partir de 13 ans, parce qu'en fait les mineurs sont moins punis pénalement.
- Les narcotrafiquants recrutent directement via les réseaux sociaux.
- Eric Henry, le délégué national du syndicat de police Alliance.
- Oui, c'est une sorte de...
- Le pôle emploi, Snapchat par exemple, ça peut être X milliers d'euros pour ce qu'on appelle un sicarios ou un charcleur, c'est-à-dire un jeune qui devra tuer.
- On les fait venir d'un peu partout en France, en fonction des besoins.
- Limiter l'accès des plus jeunes à certaines applications, Bruno Bartosetti y est favorable.
- C'est le délégué de la zone sud du syndicat Unité.
- Interdire déjà les réseaux sociaux aux moins de 15 ans, ça va dans le bon sens, mais ça va être très difficile dans l'application.
- Et puis après, lorsqu'on va sur le contrôle des messageries, on a des élus qui considèrent que c'est une atteinte aux libertés individuelles et à nos systèmes de communication.
- Il y a quelques semaines, l'Assemblée nationale a refusé la création d'une porte dérobée pour que les services de renseignement puissent décrypter les échanges des criminels.
- Un reportage sur la radio de Lionel Maillet.
- Le référendum, la fin de vie d'Ukraine, le pouvoir d'achat, c'est une liste à l'après-verre, mais c'est le grand oral surtout d'Emmanuel Macron, ce soir, face aux Français.
- Le chef de l'État qui sera dès 20h10 sur TF1 pour une émission spéciale où il répondra aux Français, leurs personnalités.
- Parmi elles, la patronne de la CGT, Sophie Binet, le maire de Béziers, Robert Ménard, l'ancienne ministre du Logement et ancienne élue écologiste en Cécile Duflot ou encore l'influenceur Thibaut InShape.
- Et puis, du côté de l'Assemblée nationale, cette fois, les députés ont entamé hier l'étude des textes, le fameux texte sur la fin de vie, très controversé.
- Et oui, les débats se sont ouverts avec ce très polémique texte sur l'aide à mourir, également débat sur les soins palliatifs.
- La ministre de la Santé, Catherine Vautrin, l'a affirmé.
- Aucun soignant ne sera contraint de faire une injection létale.
- Mais comment les professionnels de santé vivent ce débat ? Marie Foulliot, vous êtes allée à leur rencontre dans l'unité de soins palliatifs de l'hôpital Rive-de-Seine à Putot.
- Des blouses blanches et des chambres alignées, mais aussi un salon pour tous et une salle bistro pour des ateliers cuisine.
- Ici, le maître mot est l'accueil.
- Sylvia Boulat est cadre de santé.
- C'est différent d'un...
Transcription générée par IA