Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, La Vérité en Face, Jean-François Aquili.
- 0-826-300-300, vous avez la parole sur Sud Radio, comme tous les matins, c'est La Vérité en Face.
- C'est vous qui faites l'actualité avec nous, vous la commentez.
- Nous allons commencer par essayer de comprendre ce que veut Donald Trump.
- Qu'est-ce qu'il veut, à quoi est-ce qu'il joue quand il critique Emmanuel Macron, quand il dit du président français qu'il ne comprend jamais rien ? Est-ce qu'il y a une forme de désamour entre les deux chefs d'État ? Pourtant, il s'apprécie, il se tape dans le dos.
- Est-ce qu'au fond, Donald Trump fait payer à Emmanuel Macron ses récentes déclarations au Groenland quand le président français a exprimé la solidarité européenne et critiqué la volonté d'annexion du Groenland par Trump ? Nous verrons ce que vous en pensez dans un court instant.
- 0-800-26-300-300, les deux autres grands sujets du mandat.
- Ce matin, nous y sommes.
- Les retraites, l'ultime réunion du conclave qui prend fin ce mardi.
- Il y aura peut-être des prolongations.
- Mais qu'est-ce qui se négocie au jus ? Ça fait des années et des années, les deux quinquennats d'Emmanuel Macron, que nous parlons de cette réforme des retraites.
- La mesure d'âge ne devrait pas bouger, mais il pourrait y avoir des négociations, des progressions sur tel ou tel texte.
- L'emploi des seniors, très important.
- La pénibilité aussi.
- Que veut ? Que veut ? Que peut négocier la CFDT avec le MEDEF ? Nous verrons bien.
- Et puis, cette nouvelle volte-face du gouvernement, ma prime rénov', finalement, qui est maintenue, mais peut-être dans une version plus réduite, plus restreinte.
- Nous verrons bien.
- Et Maxime Trouleau est là pour nous expliquer tout ça en détail.
- La vérité en face, 0-800-26-300-300.
- Vous nous appelez, vous réagissez, vous avez la parole sur l'antenne de Sud Radio.
- Sud Radio, la vérité en face.
- Jean-François Aquilé.
- Je commence avec les retraites ultimes.
- Réunion du conclave sur les retraites aujourd'hui.
- Alors, ça prend fin après 4 mois de tractations menées, je rappelle, le contexte par 5 participants, le MEDEF et la CPME.
- C'est les patrons d'un côté.
- De l'autre, la CFDT, la CFTC et la CFE-CGC.
- FO et CGT ayant claqué la porte.
- Côté partenaires sociaux, François Bayrou veut bien des prolongations.
- Très difficile de comprendre ce qui se passe.
- La mesure d'âge symbolique.
- 64 ans est censé ne pas bouger.
- François Bayrou propose la mise en place d'une prime pour les salariés seniors qui décident de rester au travail en versant une partie de la retraite en plus de leur salaire.
- Bonjour à vous, Xavier.
- Bonjour.
- Vous vous appelez de Perpignan, Xavier.
- Oui, tout à fait.
- Il commence déjà à faire très chaud.
- Nous restons à Perpignan.
- Il y avait Louis Alliot, invité de Jean-Jacques Bourdin, il y a un court instant.
- Xavier.
- Je suis retraité.
- Oui, je suis retraité.
- Oui.
- J'étais journaliste.
- Je suis un journaliste retraité.
- Vous étiez journaliste dans quels médias, Xavier ? Dans le service public qui a bien changé.
- D'ailleurs, aujourd'hui...
- Lequel ? C'était France Télévisions.
- Ah ! Alors, le France Télé de Perpignan, c'est quelle station, ça ? Alors, ça s'appelle France 3 Pays Catalans.
- Pays Catalans.
- Parce qu'aujourd'hui, ça a changé de nom trois fois.
- Oui.
- Avec chaque fois...
- Ça s'appelle ici, maintenant.
- ... de l'argent.
- ... de l'argent dépensé.
- Ça s'appelle ici.
- Pour rien.
- Ici.
- Voilà.
- Ici, voilà.
- Ici.
- Alors, Xavier, vous continuez de travailler, vous, à 73 ans.
- Qu'est-ce que vous faites ? Ah ! Je ne vous entends plus.
- Mais je vous entends, ça y est.
- Nous vous entendons.
- Pas de souci.
- Qu'est-ce que vous faites, aujourd'hui, Xavier ? Parce que vous avez 73 ans, mais vous travaillez toujours.
- Voilà.
- Donc, si vous voulez, quand j'étais à la retraite, j'ai beaucoup...
- Là, j'ai ma mamie.
- Donc, j'ai eu quelques petits soucis financiers.
- Et j'ai eu la chance de découvrir, un jour, sur Facebook, une annonce.
- Une annonce recherchant des chauffeurs pour des enfants handicapés.
- D'accord.
- Donc, je travaille pour une société qui passe des contrats avec les départements pour transporter des enfants handicapés.
- Donc, j'ai une voiture passée par la société pour, tous les jours, transporter quatre enfants de chez eux à l'école et...
Transcription générée par IA