Retranscription des premières minutes :
- 9h-10h, Sud Radio, la vérité en face, Patrick Roger.
- A chacun sa vérité, une fois de plus, c'est ce que nous allons voir ce matin.
- Chacun a sa version, ses arguments.
- C'est comme dans une discussion assez vive autour d'une table, comme dans une petite fête où il y a de la rumba dans l'air, de la rumba qui peut parfois devenir très animée, chacun défend son bout de gras et souvent avec force, pour montrer qu'il a raison.
- Bien sûr, mais qui a raison ? Qui a raison entre ceux qui manifestent ou ceux qui décident ? Comment parvenir à des compromis ? Est-ce qu'on peut d'ailleurs trouver des solutions intermédiaires ? Les agriculteurs, les chauffeurs de taxi, on va en parler dans un instant.
- Ils manifestent donc aujourd'hui, on va les écouter.
- J'aimerais vous entendre, vous aussi, au 0826 300 300.
- Que pensez-vous de ces mouvements ? Est-ce que vous les comprenez ? Autre sujet que nous allons aborder, les sabotages sur la côte d'Azur et du côté de Cannes.
- Certains se sont attaqués.
- À des liaisons électriques pour semer la panique.
- Il aurait pu y avoir des conséquences graves, très graves, en dehors des paillettes de Cannes, bien sûr.
- Là aussi, vous réagissez.
- Et puis avec mon invité à 9h30, nous allons revenir sur la fête des mères.
- Oui, c'était hier.
- Pourquoi ? Parce que certains revendiquent le fait de ne plus faire d'enfants dans notre société.
- Le no kids théorisé pour des raisons économiques et écologiques.
- Face à ce discours, je vais recevoir Gabriel Cluzel.
- C'est le plaidoyer.
- C'est le plaidoyer d'une mère de famille qui a écrit le Yes Kids.
- Là aussi, j'attends vos réactions.
- 0-800-26-300-300.
- Et avant de vous entendre, de prendre vos appels au 0-800-26-300-300, je sais déjà que ça appelle et qu'il y a du monde.
- Maxime Trouleau, qu'est-ce qui s'est passé avec Brigitte Macron et Emmanuel Macron ce matin ? J'ai vu des images qui ont enflammé les réseaux sociaux ce matin.
- Il y aurait eu une gifle de Brigitte Macron.
- C'est du fake, ça ou pas ? En fait, le président de la République était attendu à Hanoï, capitale du Vietnam.
- Hier soir, l'avion s'est donc posé, la porte s'ouvre.
- On voit Emmanuel Macron.
- Et là, une main surgit.
- Et effectivement, qui agrippe un peu le visage du président de la République.
- C'est un peu une sorte de caresse musclée.
- Ce n'est pas vraiment une tape, mais un peu une caresse musclée, effectivement.
- Et on voit effectivement la tête d'Emmanuel Macron un peu...
- Qui vient en arrière.
- Voilà, un petit peu étonné.
- Alors, il y a eu... D'où vient cette main ? Est-ce Brigitte Macron ? Est-ce qu'elle se quinde ? Il y a eu des théories, des suppositions, etc.
- Et donc, les journalistes ont demandé à l'Élysée.
- Qui a répondu ? En disant d'abord, fake news.
- C'est une fake news.
- C'est de l'intelligence artificielle.
- C'est des comptes pro-russes qui partagent cette séquence et qui l'ont modifiée avec l'intelligence artificielle.
- Vous êtes vraiment sûr ? Eh bien, finalement, l'Élysée est revenue.
- Sur cette première version, elle a dit, finalement, c'est vrai.
- Effectivement, c'est bien Brigitte Macron.
- Alors, on parlait au début de chamaillerie.
- Puis, ils ont dit que c'était un moment de complicité entre le président de la République et son épouse.
- En tout cas, ça a donné du gras à moudre aux complotistes.
- Plein de théories en tout genre.
- Mais finalement, pas de polémique pour l'Élysée.
- Un geste de complicité selon les équipes.
- L'Élysée et puis des proches.
- J'ai vu dans un communiqué un proche qui dit que c'était un moment où le président, et son épouse, décompressaient une ultime fois.
- Parce qu'on saura vraiment ce qui s'est passé.
- Décompresser chacun sa méthode.
- Merci Maxime Troulon.
- On vous retrouve dans un instant.
- Les agriculteurs, donc, qui se sont donnés rendez-vous à Paris aujourd'hui, au premier jour de l'examen du projet de loi sur les contraintes agricoles.
- Il y a les taxis aussi qui manifestent toujours, malgré l'entrevue avec François Bayrou de samedi.
- Mais ils attendent du nouveau sur ce sujet.
- J'aimerais donc vous entendre au 0826 300 300, que vous soyez agriculteur ou pas agriculteur.
- Là, pour...
Transcription générée par IA