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Par avec Arnaud Benedetti

La grande confrontation du 24 octobre 2023


Guerre en Israël : “Processus de paix”, “fin de colonisation”, “Etat palestinien”, Macron et la politique française sont-ils à la hauteur ?
Les invités

L'actualité du jour commentée et débattue par Jean-Jacques Bourdin et ses invités. Retrouvez "Parlons vrai chez Bourdin" du lundi au vendredi de 9h à 10h sur Sud Radio et en podcast.

Maxime Trouleau & Jean-Jacques Bourdin

Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 5 premières minutes de votre émission :

" Il n'y aura pas d'augmentation des franchises médicales, il n'y aura pas de ponction sur les réserves des retraites complémentaires à AGIRC-ARRCO."

 

Jean-Jacques Bourdin : Il est 9h04, merci d'être avec nous, 9h04, nous sommes avec Maxime Trouleau, vous le savez, vous allez réagir 0-826-300-300-9h04. D'abord, cette information, c'est France Info qui donne l'information, disons clairement les choses, Maxime Trouleau, dites-nous.

Maxime Trouleau : Le budget de la Sécurité Sociale, on le sait depuis aujourd'hui, le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale est débattu à partir d'aujourd'hui à l'Assemblée Nationale, l'État ne ponctionnera pas les retraites complémentaires à AGIRC-ARRCO, ça vient de tomber, et n'augmentera pas non plus les franchises médicales.

Jean-Jacques Bourdin :  Ah, ça c'est très intéressant, il n'y aura pas d'augmentation des franchises médicales, moi je me souviens du ministre de la Santé qui était venu ici et qui nous avait dit qu'il envisageait l'augmentation de ces franchises médicales, il n'y aura pas d'augmentation des franchises médicales, il n'y aura pas de ponction sur les réserves des retraites complémentaires à AGIRC-ARRCO, voilà une bonne nouvelle aussi, évidemment, bien, deux bonnes nouvelles, maintenant, la réalité de ce qui se passe là-bas au Proche-Orient, Maxime Trouleau, Emmanuel Macron est sur place, il a rencontré les familles ce matin, nous allons parler dans un instant avec un témoignage, allez-y.

"Emmanuel Macron est sur place."

Maxime Trouleau : Oui, il s'est posé tout à l'heure à 6h30 à Tel Aviv, il a rencontré donc les familles des victimes françaises, un entretien, une réunion qui s'est terminé un peu avant 8h, maintenant, la suite du programme, il doit se rendre Emmanuel Macron direction Jérusalem, il s'entretiendra avec le président israélien Isaac Herzog, puis ensuite avec le premier ministre Benjamin Netanyahou, et il devrait ensuite, Jean-Jacques, rencontrer Mahmoud Abbas à Ramallah en Cisjordanie avant de prendre la parole, ce sera ce soir.

Jean-Jacques Bourdin : Bien, Maxime, on vous retrouve tout à l'heure, je voudrais, à propos de cette rencontre que nous retrouvions, Sabrina, vous vous souvenez sans doute de Sabrina, amie de la famille de Galiddan, Sabrina qui était avec nous il y a quelques jours, je rappelle aussi que la famille d'Anne a été endeuillée, deux membres de la famille, Carmela, 80 ans, et Noya, sa petite fille de 12 ans, ont été tués par le Hamas, Sabrina, bonjour.

Invitée : Bonjour, bonjour.

Jean-Jacques Bourdin : Sabrina, vous avez rencontré, parmi d'autres familles de victimes, vous avez rencontré Emmanuel Macron ce matin ?

Invitée :Oui, en effet, on était les premiers à le rencontrer lors de son arrivée en Israël, et il a consacré en fait un temps personnel à chaque famille. D'abord, c'est extraordinaire de voir cette approche, cette sensibilité, de connaître personnellement chaque famille, chaque histoire, et de parler les yeux dans les yeux avec chaque maman, chaque papa, frère, sœur, et on voit très très bien qu'il prend cette affaire personnellement, et il est venu pour aider et pour donner aux familles beaucoup d'espoir.

"De savoir que ni sa fille, ni sa mère ne reviendront plus jamais, c'était dur, très dur et très difficile."

Jean-Jacques Bourdin : Que vous a-t-il dit, Sabrina ? Que vous a-t-il dit ?

Invitée : Tout ce qui se passe concernant les entretiens avec le Hamas, il ne peut pas nous le dire, c'est comme vous le savez, top secret, mais en donnant de l'espoir à des familles, en leur donnant la sensation réelle que les otages, à quelques familles, on sait très bien que les enfants, les familles, les membres de la famille sont vivants, on n'a pas encore eu de preuve de vie, mais le fait de nous dire que les membres de cette famille ou de l'autre sont vivants, c'est de nous donner un petit peu de lumière dans toute l'obscurité, et malheureusement chez la famille d'Anne Calderon, il y avait Adasse et Dalite, les deux sœurs, l'une qui a perdu sa mère et Noya, sa fille de 12 ans, qui est complètement dévastée, elle est en pleine deuil, mais elle a choisi d'être là, de donner beaucoup d'espoir à sa sœur, d'être avec la sœur, de la soutenir, mais à un moment elle était complètement dévastée, et avec le réconfort du président, malgré le réconfort du président, de savoir que ni sa fille, ni sa mère ne reviendront plus jamais, c'était dur, très dur et très difficile. (...)

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