Retranscription des premières minutes :
- Bienvenue. Si vous nous rejoignez pour les débats dans ce 10h midi, nous allons revenir évidemment sur l'actualité dramatique de nos gens avec ce collégien qui prévoyait de passer à l'acte. Il n'a aucun regret. Et les politiques qui sont à côté de la plaque portique, couteau, réseaux sociaux, tout cela n'a rien à voir en l'occurrence avec le cas précis de cet ado. Et on a effectivement, bon, c'est Marine Le Pen qui le dit, mais un concours lépine de propositions stupides. Gérald Darmanin veut diviser par deux l'assurance chômage. Le bateau pour Gazard n'a toujours pas eu le temps d'en parler à cause de cette actualité dramatique.
- Et puis le Sénat qui adopte une loi contre la fast fashion visant en particulier Chine. Le fabricant de Chine, Chinois, de vêtements et d'articles bon marché. Pour en parler, Christine Bouillaud, journaliste à Sud Radio.
- Bonjour Christine, correspondante à Toulouse. Bonjour Valérie, bonjour à tous. Virginie Legay, journaliste, éditorialiste à France Info TV.
- Bonjour Virginie. Bonjour à tous. Brice Socol, politologue, essayiste. Vous avez co-écrit avec Frédéric Dhabi. Parlons-nous tous la même langue.
- Bonjour. Bonjour. Qui est parue aux éditions de l'Aube. Et Jean-Christophe Gallien, qui ne devrait pas tarder à arriver, politologue et conseiller en communication.
- Allez, avant de commencer tous nos débats, vous savez que dimanche, c'est la fin de la semaine.
- C'est la fête des Pères. Et Sud Radio, à l'occasion de la fête des Pères, vous offre, dans toutes ses émissions et pendant toute la semaine, un bracelet de la collection Lettres de la marque Le Vent à la Française. Très chic, très élégant pour célébrer les papas.
- Donc intégralement fabriqué en France, confectionné à la main. Allez voir le site leventalafrancaise.com pour faire votre choix.
- Et vous nous appelez 0 826 300 300 et on vous donnera le nom du...
- ...le vainqueur, de la gagnante ou du gagnant dans un instant.
- Bonjour Jean-Christophe qui vient de nous rejoindre. Coup de cœur, coup de gueule pour commencer. Christine, coup de cœur.
- Oui, alors un petit écho et je trouve ça... Allez, on va parler de choses qui nous réjouissent un tout petit peu.
- J'ai lu ça dans les pages saumon du Figaro. C'est l'institut Altares qui va publier aujourd'hui l'état des lieux des sessions des petits commerces des centres-villes.
- Les boulangeries, les épiceries.
- Les cafés, les restaurants. Eh bien, bonne nouvelle. L'an dernier, en 2024, tous ces petits commerces se sont plus vendus que la moyenne. C'est en hausse de près de 5%.
- Alors, surtout dans les villes moyennes, c'est-à-dire dans les villes de 2 000 à 5 000 habitants. L'institut parle d'une dynamique supérieure à la moyenne nationale.
- En revanche, dans les villages, c'est toujours un sujet qui est à la peine puisque ceux qui cèdent leurs petits commerces...
- ...ont du mal à trouver.
- ...à trouver et attirer les acheteurs. C'est très dynamique aussi dans les villes de plus de 100 000 habitants. Une vente de commerce sur 5 réalisée l'année dernière avec des prix qui sont certes en repli.
- Mais ça veut dire aussi qu'il y a des sessions qui fonctionnent. L'Île-de-France, évidemment, c'est là qu'il y a le plus grand nombre de sessions.
- Mais c'est la région des Hauts-de-France qui a la plus grosse dynamique nationale. Il faut rappeler qu'on a 31 700 transactions eues en France avec un prix moyen de 250 000 euros.
- Ce qui est plutôt un bon signe.
- Pourvu que ça continue parce qu'on sait ô combien c'est difficile de lutter contre la grande distribution et notamment pour les commerces de vêtements qui, eux, en revanche, sont à la peine dans les petits centres urbains.
- Et donc du coup, puisqu'on a entendu tout à l'heure dans l'info sur une radio effectivement qu'il y a encore un commerce, une marque de vêtements qui risque de fermer définitivement, c'est vrai que c'est plutôt bien pour la dynamique d'un centre urbain. Et les élus se battent pour ça. Les riverains attendent ce genre de commerce.
- Et c'est peut-être aussi à nous, commerçants, en tous les cas pas commerçants mais consommateurs, de faire l'effort de s'arrêter chez eux.
- Ces petits commerçants vont vous répondre « Oui, mais ça coûte cher, le...
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