Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert.
- Avec vous sur Sud Radio, pour les débats, on a entamé un débat, une porche qui a été brûlée, vous avez peut-être vu les images, alors je vais d'abord vous présenter Eric Revelle, journaliste, éditorialiste à Sud Radio, bonjour, du lundi au jeudi à 7h25 dans le Grand Matin Sud Radio, Alexandra Spiner, enseignante, déléguée spéciale en charge du décrochage scolaire à la région Île-de-France, Mathis Braska, responsable du développement dans l'humanitaire, bonjour à vous, vous travaillez entre autres pour Toutes à l'école, je rappelle qu'on peut aller sur le site de l'association de Tina Kieffer, que je connais évidemment très bien, et parrainer des petites filles, parce que c'est important, Toutes à l'école, c'est une chance pour ces petites filles au Cambodge, qui n'ont pas droit à l'éducation.
- Et grâce à ce que fait Tina depuis 20 ans maintenant, 1600, 1700 filles, des familles aussi qui sont aidées plus largement, ça ne coûte pas très cher, et tout l'argent que vous donnez, pardon de le préciser, parce qu'avec la méfiance qu'il y a maintenant avec les dons aux associations, tout l'argent que vous donnez va directement aux petites filles dont on s'occupe et qu'on instruit, c'est important de le dire aussi.
- Il y a des instruments comme Don en Confiance qui permettent...
- De vraiment suivre où va l'argent, et là où Toutes à l'école se différencie d'autres ONG, c'est que c'est une ONG qui est très opérationnelle, ça veut dire que sur le terrain, en fait, ce sont des employés de l'association qui sont profs, qui sont agriculteurs, etc.
- Ce n'est pas de l'argent qui est redistribué, c'est de l'argent qui va directement dans des salaires et dans des contrats locaux.
- J'ai eu la chance d'y aller, j'ai vu le fonctionnement, c'est absolument remarquable.
- Dernier point, pardon.
- Elle est...
- Elle est une des premières à s'être attaquée au problème des petites filles qui étaient privées d'école.
- Absolument.
- Formidable association.
- Et Thomas Elexager, bonjour, secrétaire général des Centristes, porte-parole de Nouvelle Énergie, c'est le parti de David Lysnard, qui parle vrai, qui parle de bon sens assez souvent, sans prendre...
- Merci pour lui.
- Non, mais il dit des choses qui ont du sens et qui sont...
- Je pense qu'il a cet avantage d'avoir...
- De s'imposer une vie...
- Non pas parisienne, mais extrêmement tournée vers ses habitants, vers sa commune de Cannes, sur laquelle il fait un travail extraordinaire.
- Et j'espère que sa voix continuera à porter.
- Et moi, j'aime l'homme de conviction, David Lysnard.
- Je vais vous dire pourquoi.
- Parce que là, il est donc maire de Cannes, il est président de l'AMF.
- Il a un festival de Cannes célébrissime dans le monde entier.
- Et pourtant, David Lysnard, il n'a pas eu peur de dire un certain nombre de choses assez cultureux qui défilent sur les tapis rouges.
- Mais oui.
- Et ça, c'est...
- Il faut le faire quand vous êtes maire de Cannes et que vous avez...
- Le festival de Cannes, dire des choses aussi sensées, aussi fortes.
- Notamment en hommage à Boilem Sansal.
- Exactement.
- Il a pris une prise de parole très forte pour dire qu'il était le grand absent des discours...
- Exactement.
- Du festival de Cannes.
- On va revenir évidemment sur les violences en marge du sacre du Paris Saint-Germain.
- Gérald Darmanin pointe ce matin des condamnations qui ne sont plus à la hauteur.
- On va parler évidemment de ce crime raciste dans le Var avec Bruno Retailleau, qui, selon Olivier Faure, installe un racisme d'atmosphère.
- Retailleau qui refuse...
- Il défend la proportionnelle.
- Bref, beaucoup de sujets avec vous.
- Alors, on parlait de cette Porsche qui a été brûlée.
- Vous l'avez peut-être vu sur les réseaux sociaux.
- C'était la vôtre.
- Mais c'était la mienne.
- Non, ce n'était pas la mienne, mais c'était celle d'un ami d'un ami.
- Et alors, la réaction que vous avez eue avec lui, c'était qu'elle a abruti de la laisser dans la rue.
- Non, non, non.
- Non, mais pourquoi il l'a...
- Moi, ma 4L, je la laisse dans la rue.
- Il a voulu aller la garer samedi.
- Et les policiers lui ont dit...
- Parce qu'il a un parking.
- Et les policiers ont dit...
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