Retranscription des premières minutes :
- Le Loft Musique Sud Radio, Yvan Cujus.
- On rencontre sa destinée souvent par les chemins qu'on prend pour l'éviter.
- Jean de La Fontaine.
- Merci d'être avec nous ce dimanche sur Sud Radio.
- On est ravis de vous accueillir, comme toutes les semaines, pour parler chansons, pour partager des moments de live, des rencontres.
- Sur Sud Radio, évidemment, dans ce Loft Musique, qui reçoit aujourd'hui, pour son nouvel album, toute la musique que j'aime, en hommage à son mentor, à ce personnage merveilleux qui a changé sa destinée.
- Lui est aussi un personnage merveilleux, il s'appelle Greg Zlap.
- Greg Zlap est dans le Loft.
- Salut mon Greg, merci d'être là.
- Bonjour.
- Et puis tu as la panoplie, la valise d'instruments, d'harmonica, donc on va en profiter tout à l'heure avec toi en live également.
- Et puis j'annonce d'ores et déjà que tu seras, au Casino de Paris, mon Greg, le 8 décembre prochain.
- Nous sommes également dans la...
- Alors là, on est dans la séquence, on peut dire nostalgie, puisque vous allez reconnaître ce tube, normalement et forcément, qui a rythmé, ou en tout cas, qui a accompagné votre vie, vous, les boomers.
- Ce sont les frères Nakaj qui sont avec nous.
- ...
- Tout le monde connaît ce titre.
- Elle imagine, elle imagine Un chaleur immobile, les villes blanches Elle imagine, ses musiques aux fenêtres Les chagrins et les fêtes Souvenirs, c'est bien, il y a de la lumière.
- Salut les frères Nakaj.
- Bonjour Yvan, bonjour à tous.
- Marc, il y a Norbert.
- Et puis les musiciens qui vont vous rejoindre tout à l'heure pour reprendre cette chanson en live.
- C'est marrant, ça me fait penser à Charles Trenet, longtemps, longtemps après que les poètes ont disparu.
- ...
- Alors on fait là, là, là, on ne se rappelle pas exactement des paroles.
- Mais par contre, on se rappelle de la mélodie.
- Et elle a imprégné toute une génération.
- On va en parler tout à l'heure, cette mélodie.
- Et d'ailleurs, c'est un peu le thème de votre spectacle, dont on va parler également.
- Les frères Nakaj, avec ce spectacle et ce single, le nouveau single, qui s'appelle Un beau dimanche d'été.
- Également avec nous, on aurait célébré un artiste majeur.
- Voilà, The Voice.
- Rappelez-vous, Frank Sinatra.
- Il est incarné par Denis Estelle.
- ...
- Bonjour Denis.
- Bonjour Évangile.
- Merci d'être avec nous.
- Alors c'est le look aussi, physiquement.
- Il y a quand même quelque chose qui rapproche vraiment de Frank Sinatra.
- J'en suis heureux et fier et content, oui.
- Là, on est au Casino de Paris pour cet hommage, His Way, le jeudi 16 octobre.
- À 20h, mon cher Denis.
- Il y a une passion pour Frank Sinatra, visiblement, qui dépasse la musique aussi.
- Oui, une passion pour le personnage, pour son intelligence musicale, artistique, ses engagements multiples dans le cours de sa vie, sa résilience.
- On va en parler, c'est passionnant tout ça.
- Merci d'être avec nous, les amis.
- Vous ne connaissiez pas avant, donc c'est le moment de faire connaissance.
- Greg Zlapp, qui est là, est cet harmoniciste chanteur, d'ailleurs, que maintenant la France entière connaît et s'arrache, d'ailleurs.
- Bon, Greg, les groupies te sautent dessus maintenant, ça y est.
- Enfin, tu es arrivé à la fin des années 80, en France, comme ça.
- Et puis, tu as fait, dans ta valise, un harmonica, un seul.
- Maintenant, depuis que tu as les moyens, maintenant que tu es devenu très riche, tu en as plein.
- J'en ai plusieurs.
- Mais au début, il y en avait quasiment qu'un, quand tu arrives, non ? Parce qu'à l'époque, en Pologne, on n'en trouvait même pas dans les magasins.
- Oui, c'est ça.
- Donc, quand je suis arrivé à Paris, à la fin des années 80, un émerveillement, c'était de voir un magasin de musique avec des harmonicas en vitrine, que je léchais des vitrines avec avidité.
- C'est marrant, parce que...
- Je t'en prie, Marc.
- Non, Marc Nakache, vas-y.
- On ne trouvait pas ça en Pologne ? Non, à l'époque, c'était encore derrière le mur du Berlin.
- C'était assez austère, l'ambiance.
- Et on trouvait, dans les magasins de musique, on trouvait les disques de musique classique.
- C'est tout, à peu près.
- Je dis ça juste...
Transcription générée par IA