Retranscription des premières minutes :
- Terre de France.fr, le premier site d'articles français et patriotes présente La culture dans tous ses états. André Bercoff, Céline Alonso.
- J'ai atteint de leucémie et je vais mourir dans deux mois.
- C'est cela, oui.
- Et comme je suis seul ce soir, j'aimerais souhaiter un joyeux Noël à une femme.
- Eh bien, monsieur, c'est une très belle preuve de courage que vous nous donnez là.
- Et je vous passe la collaboratrice.
- Joyeux Noël, monsieur. Enfin, si je puis m'exprimer ainsi.
- Comment vous appelez-vous ? Je m'appelle Thérèse.
- Oui, je t'encule, Thérèse. Je te prends, je te retourne contre le mur, je te baisse par tous les trous, je te défonce, je te mets, Thérèse.
- Ça, ça ne nous intéresse pas. Arrêtez ça. Arrêtez. Ça ne nous intéresse pas. Ça ne nous intéresse plus.
- Coup de Bernard, je crois que toi et moi, on a un peu le même problème.
- C'est-à-dire qu'on ne peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi.
- Alors, si je peux me permettre de te donner un conseil, c'est oublie que tu n'as aucune chance. Vas-y, fonce.
- On ne sait jamais. Sur un malentendu, ça peut marcher.
- Eh oui, le Père Noël est une ordure.
- Les bronzés font du ski et les répliques cultes du sport.
- C'est ce que l'on dit qui se raconte dans un beau livre paru au Cherche Midi l'année dernière et dont une édition collector vient de sortir aux éditions du Cherche Midi.
- La vente de cet ouvrage, André Bercoff, qui rend hommage à Michel Blanc, aide la Fondation pour la Recherche Médicale.
- Thierry Lhermitte en est le parrain depuis plus de 20 ans, André.
- Et il sera notre invité dans un instant sur Sud Radio.
- Oui, il est déjà là. Moi, une chose qui me frappe, regardez, en trois phrases.
- Je ne sais pas qui pourrait dire ça aujourd'hui dans un film qui sortirait.
- Ça serait délicat.
- Ce serait extrêmement délicat.
- Il y aurait 40 associations qui lui tomberaient dessus.
- Ça serait bien possible, oui.
- Non, mais c'est formidable.
- Et on a la chance de ne pas être soupçonnable, nous.
- Alors, l'âge, la tradition, donc tout va bien.
- Non, et puis voilà, on ne touche pas aux monuments historiques.
- Non, mais c'est vrai, c'est extraordinaire.
- Moi, je veux dire, ça ne m'enroge ni pas, mais au contraire, ça m'honore.
- J'ai connu le splendide pas à ses débuts.
- Et c'est formidable quand on lit ce livre, quand on voit ce qui se passait, quand on voit les répliques, quand on voit vraiment tous ces films incroyables qu'on peut revoir aujourd'hui.
- Mais moi, je défie quiconque de voir Le Père Noël d'une ordure, Le Dîner de con, puis beaucoup d'autres.
- Franchement, c'est-à-dire, on est, on est, personne ne peut dire « Ah oui, mais attends, qu'est-ce que c'est que ça ? » Et c'était tellement naturellement, politiquement, éthiquement incorrect que c'était vraiment joyeux.
- Alors, Josien Balasco, Michel Blanc, Christian Ruggier, Gérard Nuneau, vous-même, Thierry Lhermitte.
- Bien sûr, cette histoire incroyable qui a encore plus de 50 ans maintenant.
- Ben, pas loin, oui.
- Pas loin, oui.
- C'est pas mal, pas mal.
- On est sortis de l'acné juvénile, mais voilà, elle est bronzée, elle est bronzée quand même, qui a fait les 10 films préférés des Français de tous les temps.
- Le Père Noël est une ordure, bien sûr.
- Et alors, des répliques, Céline, des répliques incroyables.
- Oui, des répliques tellement cultes qu'ils font, cultes surtout, et cul, non ? Qui font le succès, effectivement, de ces films, rappelez-vous, de Thérèse n'est pas moche, elle n'a pas un physique pas facile, c'est différent.
- Et quand Thérèse offre un gilet horrible à Pierre pour Noël, il lui dit, oh, c'est formidable, il me manquait quelque chose pour descendre les poubelles.
- Alors, l'épopée du splendide André Bercoff, on va vous la raconter, chers auditeurs, dans un instant, sur Sud Radio.
- Attendez, attendez, attendez, il y a Je ne vous jette pas la pierre, Pierre, mais j'étais à deux doigts de m'agacer.
- Oui, ça, c'était une invention d'un émone, Je ne vous jette pas la pierre, Pierre, oui.
- Ah, fabuleuse.
- Alors, on va en parler, effectivement, tout de suite, parce qu'on va parler, d'ailleurs, des...
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