Retranscription des premières minutes :
- « Nous sommes en guerre. » « Donc je vous le dis, la réponse de l'État sera à la hauteur. » « Ils vont tous rentrer chez eux. Tous. Ceux qui ont tabassé des policiers, ceux qui ont agressé des femmes dans la rue, ceux qui ont mis le feu à des voitures, sont aujourd'hui libres et ils le seront demain. » « Brahim, 20 ans, tir de mortier d'artifice contre les forces de l'ordre, 2 mois avec sursis. » « On se parle pas comme ça de la justice française. » « Ali, il a reconnu avoir lancé un projectile sur les policiers, 8 mois avec sursis. » « Nous poursuivrons, nous punirons, on sera implacables. » « Moi, ben, je vais y aller et ils vont m'entendre. » « Il faut que la sanction retrouve du sens. » « Qu'avez-vous à dire pour votre défense ? » « Moi, monsieur, ce jour-là, j'étais au McDo, je tuais mon fils. » « Nous serons sans faiblesse. » « Bon, ben, à quitter. À quitter, tu peux y aller. » « Et nous prendrons toutes nos responsabilités. » « Cet homme est innocent à quitter. » « Brahim, il me bat la gueule. » « Nous sommes en guerre. » Et oui, quelle guerre, et quelle guerre.
- Et de quoi parle-t-on ? De quoi parle-t-on, évidemment, de la justice ? Vous savez ce qui s'est passé, vous l'avez tous vu, sur les images, les réseaux sociaux, télévision, etc.
- Ce qui s'est passé après la très belle victoire du PSG contre Milan.
- Eh bien, après, c'était autre chose.
- C'était le mauvais côté de la force.
- On va en parler avec Georges Fenech.
- C'est l'ancien magistrat qui est écrivain et journaliste.
- Et on va voir pourquoi, pourquoi, est-ce que c'est une culture, cette culture de l'impunité ou cette culture de l'excuse, et au vu et au su des résultats, effectivement, des jugements qui sont passés très, très, très vite, après l'audition des accusés.
- Et puis, au-delà de ça, on se demande toujours, mais ce n'est pas nouveau, comment ça se mesure, comment ça se passe.
- Et puis, nous allons parler, évidemment, parce que d'un autre côté aussi, une autre injustice qui n'a rien à voir avec le judiciaire, c'est l'explosion de la TVA sur les factures d'électricité et de gaz, l'inflation, etc.
- Qui est tondu, comme d'habitude ? Qui va payer, comme d'habitude, la classe moyenne ? Et pourquoi et comment ? On en parlera avec Benoît Perrin, directeur de Contribuables Associés, parce que ça devient, là aussi, assez...
- plus que préoccupant, d'ailleurs.
- On n'a plus que l'impôt sur les eaux, disait Michel Audiard.
- Et puis, on va parler de cette boxeuse algérienne, Imane Kélif.
- Oui, oui, vous savez, elle avait gagné au 8 Olympique, tournoi de boxe, elle avait triomphé, effectivement, dans la boxe féminine.
- Or, on sait maintenant, on l'a prouvé, que c'est et que c'est resté un homme, en dépit de la transition.
- Alors, ça va mener vers quoi, tout ça ? Et puis, on va parler de Paris.
- Et puis, en seconde partie de l'émission, nous allons recevoir quelqu'un que vous connaissez, qui est la psychologue Marie-Estelle Dupont.
- On va parler de quoi ? Et on va parler de ce malaise dans la civilisation, dans notre civilisation.
- Qu'est-ce qu'on peut appeler, aujourd'hui, le gouvernement par la peur, si l'on parle au chaos ? Qu'est-ce que ça veut dire, dans la tête des gens ? Eh bien, on en parlera longuement.
- Et en attendant, aujourd'hui, attachez vos ceintures, la justice passe ou trépasse.
- Ici, Sud Radio.
- Les Français parlent au français.
- Je n'aime pas la blanquette de veau.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états.
- Tirs de mortiers, d'artifices et de projectiles, pillages de magasins, violences contre les forces de l'ordre et les pompiers.
- Les célébrations après la victoire du PS, géant Ligue des champions, ont été émaillées de grave violences.
- On le sait, on l'a dit, on l'a vu partout.
- 500 interpellations ont été effectuées dans le pays.
- Et premiers émultis ont été jugés en compréhension immédiate, dès lundi, par la 23e Chambre correctionnelle de Paris.
- Et ils sont ressortis comment, de cette 23e Chambre correctionnelle...
Transcription générée par IA