Retranscription des premières minutes :
- Bonjour et Baptiste Ménard, bonjour, aviez-vous retrouvé ? Tout le monde aussi, mais c'est vrai que Baptiste, ça fait longtemps que vous n'êtes pas venu.
- Maire adjoint de Mont-Saint-Barol, ça se prépare les municipales ? Absolument, on est à fond là.
- Vous êtes à fond ? Bon, bah écoutez.
- On va revenir sur la condamnation de Christophe Glaze, hier en appel condamné à 7 ans de prison en Algérie.
- Il y a eu beaucoup de relais pour Boilem-Samsal, il va falloir se mobiliser aussi pour Christophe Glaze, on va en parler dans un instant.
- Un bac plus 5, est-ce bien utile ? On a profité de la présence de Gilbert Azoulay pour traiter de ce sujet, parce que les choses sont en train de changer, et c'est vrai.
- Il y a le livre de Laurent Alexandre qui a beaucoup de succès, et d'Olivier Babot.
- Que je conteste un peu pour partie.
- Ne faites plus d'études, mais là, un bac plus 5, est-ce bien utile ? Cette une aujourd'hui du Parisien, qui laisse encore ses enfants sortir seuls dans la rue ? Est-ce que vous avez peur pour vos enfants ? On voit que l'âge auquel les enfants sont, les parents laissent leurs enfants aller seuls à l'école, a changé.
- Il est plus tardif, parce que les gens ont peur de laisser leurs enfants dans la rue.
- Et puis si on a le temps, on parlera de la proposition de Louis Sarkozy.
- J'ai cru que c'était le Gorafi hier, quand c'est apparu comme ça.
- Supprimer les lignes blanches, supprimer les feux rouges, supprimer un certain nombre de panneaux de signalisation.
- On va en reparler avec vous.
- Et évidemment, je voulais qu'on commence par la condamnation en appel de Christophe, moi je suis un petit peu étonnée du peu de soutien, peut-être même à commencer par nous, on a beaucoup parlé de Bollem-Samsal, beaucoup moins parlé de Christophe Gleize.
- Néanmoins, son incarcération, sa condamnation est absolument scandaleuse et il est empoisonné pour apologie du terrorisme pour être allé interroger les membres d'un club de foot cabile.
- Je trouve que le monde du sport est très silencieux.
- Le PSG n'a rien dit ? Beaucoup de gens du foot des clubs de Ligue 1 et Ligue 2 ont parlé.
- Et il y a eu un silence assez assourdissant.
- Un silence qui hurle dans la nuit, comme dirait Pachung.
- Et c'est vrai qu'on attendait une réaction collective de tous pour se mobiliser, commencer à se mobiliser d'ailleurs pour plein de sujets.
- Et c'est très bien.
- Et là, ça mériterait...
- Moi, je pense que Bollem-Samsal appartenait à une sorte d'espace intellectuel.
- Et c'est vrai que ses soutiens étaient très clairement des anciens ministres, des personnalités.
- Vous les receviez ici.
- Oui, on a eu Arnaud Benedetti.
- Christophe, c'est un journaliste d'un magazine.
- Sauf vous.
- J'allais dire un magazine impertinent, un magazine qui va dans les recoins de la société.
- C'est vrai que je trouve ça très dommage que tout le monde ne se lève pas comme un seul homme pour le défendre.
- Même l'équipe, ce matin, qui n'en fait pas sa une, qui ne le met pas en une.
- C'est un journaliste sportif.
- Ça parle de sport.
- Ça parle d'une équipe de foot.
- Je crois que vous vouliez, Mathieu Bachelon, vous en faire au départ votre coup de gueule.
- Je vous ai dit qu'on en parlait.
- Ce que dit Gilbert est assez juste.
- Parce que Boulême Sansal était très entouré, et tant mieux.
- Et Christophe Glaise n'a pas peut-être ce soutien de la part d'un public très institutionnel.
- Parce qu'il n'a pas la même assise, il n'a pas la même notoriété que Boulême Sansal.
- Et rappelez, encore une fois, le caractère...
- Voilà, c'est un procès stalinien.
- En plus, il a fait un mea culpa parce qu'il est allé avec un visa touristique et non pas un visa...
- Il faut quand même rappeler.
- Il faut quand même rappeler ce qui lui est reproché et la réalité des faits.
- Il est donc journaliste à SoFoot.
- SoFoot qui est un excellent magazine qui, pour celles et ceux qui ne le connaîtraient pas, a réussi à sortir le football uniquement de ce qui était souvent le cas en...
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