Retranscription des premières minutes :
- Et bonjour à toutes et à tous. Vendredi 24 octobre. Ravi de vous retrouver. Ce week-end, on va changer d'heure.
- Alors je vous disais, c'est un marronnier journalistique. Mais néanmoins, c'est un sujet de débat qui intéresse.
- Peut-être que Frédéric Dhabi aura quelque chose à nous dire sur le sujet. On va parler de nombreux sujets avec vous, avec Frédéric Dhabi, directeur général de l'IFOB. Vous avez publié avec Brice Socol.
- Vous allez publier dans quelques jours « L'écharpe et les tempêtes » aux éditions de l'Aube.
- Vous m'avez dit qu'il était encore mieux que le précédent. Vous pouvez me l'apporter.
- C'est peu de le dire, alors.
- Donc c'est face aux maires, la défiance inattendue.
- Oui. Point d'interrogation.
- Point d'interrogation. Mais normalement, les maires sont les personnages les plus aimés.
- Alors, il reste les piliers de la République. C'est eux qui échappent à l'éclipse du politique.
- Mais il y a une telle pression sur eux.
- Donc c'est le réceptacle de toutes nos frustrations, nos craintes, nos inquiétudes.
- Et pardon, Frédéric, mais il y a des maires qui sont, je pense, aux maires de Lyon.
- Il y a des maires qui transforment les villes et qui ruinent les villes, les maires écologiques.
- Il y a 33 000 communes. Et vous citez la ville de Lyon.
- Non, mais je parle des grandes villes.
- Voilà. Il n'y a que 1 000 villes de plus de 10 000 habitants.
- Sophie de Menton, chef d'entreprise, présidente du mouvement Éthique.
- Vous avez publié « Réussir, c'est possible » aux éditions Fayard.
- Je ne sais pas si je republierai ça.
- Pourquoi ? Parce que ça devient de pire en pire.
- Oui, entretien avec combien ? 40 patrons, c'est ça ? Oui, 43.
- Mehdi Raïch, analyste politique.
- Je n'ai rien publié.
- Arnaud Stéphan, vous avez publié. Et Arnaud Stéphan non plus, mais fondateur.
- Ah si, oui, mais sous d'autres noms, parce que j'étais nègre.
- Ah, fondateur de l'agence La Note de Com.
- Oui, oui.
- Non, mais vous avez raison.
- Les nègres en chemise, il n'y en a plus dans les boulangeries.
- Oui, non, mais...
- Les religieuses, il y en a encore, mais on hésite.
- Débat sur le sang.
- Non, parce que c'était une glace, le nègre en chemise.
- Non ? Non, c'était la tête de nègre.
- Non, c'est la tête...
- Oui, la tête de nègre en chemise, c'était une glace.
- Bon, on ne va pas entamer ce débat.
- On ne va pas entamer ce débat maintenant.
- Le permis à vie, c'est fini, donc il faudra repasser une visite.
- Faudra-t-il repasser une visite médicale tous les 15 ans ? Dites-nous ce que vous en pensez.
- 0 826 300 300.
- Donc, mettre fin au changement d'heure.
- Donc, novembre, vous savez si on avance ou on recule ? Je sais qu'on se lève plus tard.
- Oui, on recule.
- En une heure, c'est sympa.
- Oui.
- C'est juste à l'avantage.
- Non, mais les moyens mnémotechniques, novembre, on recule, et avril, on avance.
- Ah, vous avez fait ça exprès, vous pensez, ou par exemple ? Oui, je pense.
- L'armée française se prépare à un choc contre la Russie d'ici 3 ou 4 ans.
- Et l'université Paris VIII, quand l'apologie du terrorisme se fait à la fac.
- Bref, beaucoup de sujets avec vous.
- Commençons avec ce changement d'heure.
- Vous êtes pour ou contre le changement d'heure ? Contre.
- Contre ? Oui, parce que c'est...
- Ça me déstabilise beaucoup.
- Ah bon, vous êtes comme les vaches.
- Oui.
- Merci, Valérie.
- Ça perturbe beaucoup les vaches, oui.
- Oui, je trouve ça...
- Il va faire nuit, c'est beaucoup plus tôt.
- Enfin bref, je trouve ça très compliqué.
- Bon, Mehdi, petit tour de table ? Non, pas spécialement perturbé.
- Il faut changer les montres, c'est un cauchemar.
- Oui, même si le coup du...
- Il fait nuit plus tôt, techniquement, et dérangeant.
- Enfin, j'aime pas ça, mais objectivement, ça me dérange pas plus.
- Bon, mais c'est l'Espagne, hein, qui monte au créneau et qui demande à ce qu'il n'y ait plus de changement d'heure.
- Enfin, ça fait combien d'années qu'on dit qu'il n'y en a plus ? Bien sûr, oui, c'est...
- Mais ils ont raison. En plus, pour les enfants, c'est un vrai problème.
- Moi, qui en ai quelques-uns,...
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