Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio Média, l'invité du jour. L'invité du jour, c'est Bertrand Desquerses. Vous êtes chroniqueur royal. On est ravis de vous recevoir ce matin.
- Les sujets se suivent et ne se ressemblent pas dans l'émission Média. Kate, le jour où, c'est la biographie non autorisée de Kate Middleton.
- Je la n'aurai, hein. Oui, oui, ça paraît chez Fayard. Mais vous êtes au courant de tout. Je sais pas comment vous faites, d'ailleurs.
- Au courant de tout, de beaucoup de choses. De beaucoup de choses. Peut-être pas de tout, de l'âge.
- Alors, c'est une princesse particulière, Kate Middleton. C'est pour ça que vous vous êtes intéressée à elle. Qu'est-ce qui a été votre motivation ? C'est une princesse, déjà, qui a écrit l'histoire. La Révolution est déjà en marche, puisque, comme je le souligne, en plus de 1 000 ans d'histoire, depuis que l'Angleterre a des rois, elle est la première roturière, c'est-à-dire la première fille issue du peuple à, un jour, devenir reine d'Angleterre.
- Donc ça, ça n'était vraiment jamais arrivé.
- Et pour parvenir à cette révolution, c'est vrai, pour écrire l'histoire, eh bien, vous vous doutez bien que ça a un certain coût.
- Eh bien, le coût de Kate, ça a été de s'obliger à la perfection. Elle a été pendant très très longtemps l'école de la perfection.
- Elle a voulu afficher cette image à l'Angleterre et au monde. Elle était consciente absolument que l'image des Windsor est planétaire.
- Et je pense qu'elle a un peu trop donné. Moi, j'avance carrément l'hypothèse qu'elle en est tombée malade.
- Mais quelle relation elle avait avec Elisabeth II ? Elle avait été vraiment adoubée par la reine ? Absolument. Excellente. La relation avec Elisabeth II était excellente. Vous savez, Elisabeth II ne pouvait pas prendre la parole en public.
- Diplomatiquement, elle ne pouvait pas le faire. Donc à ceux qui pouvaient lire les messages d'Elisabeth II, elle savait nous dire de petites choses.
- Eh bien, Elisabeth II avait trouvé, pour nous faire comprendre que Kate, dans le fond, était un peu son héritière, celle qu'elle adoubait.
- Eh bien, elle lui prêtait des bijoux. Eh bien, je vous parle pas de petits bijoux. Je vous parle pas de bagues ou de petits bracelets que personne n'aurait vus.
- Non, non, pas vraiment.
- Le fameux collier de perles à sa grand étant près d'Elisabeth II, c'était volontaire. C'était une façon à nous dire, vous voyez. Eh bien, voilà, c'est un peu un adoubement.
- Oui. Alors, elle se préparait à devenir princesse. Est-ce que c'était l'objectif ? On l'a dit à un moment que ses parents l'ont élevée, elle et sa sœur, pour entrer dans la famille royale.
- Ça, c'est ce que vous racontez aussi.
- Disons que chez les Middletown, il y a une ambitieuse. C'est Carole. C'est la mère qui, en effet, est née dans un milieu...
- Oui, tout à fait modeste et d'emblée a voulu sortir de cette extraction modeste. Elle décide de devenir hôtesse de l'air. Elle rencontre Michael Middleton, le père, donc, de Kate.
- Elle en fait un pilote de ligne. C'est elle qui choisit vraiment la carrière de son mari. Et puis elle trouve que c'est pas encore suffisamment prestigieux.
- Donc il crée une société de farces et attrapes, partie pisse, qui les rend vraiment très très riches. Et c'est cette société où on dit...
- C'est pas le sommet le plus court pour arriver à la famille royale, les farces et attrapes ? Non, non, non. D'autant plus que...
- Ce qui les rend vraiment richissimes, c'est le coussapétor. Vous savez, le fameux coussas sur lequel on s'assoit et qui fait du bruit lors des goûters d'anniversaire.
- Mais néanmoins, l'argent arrive quand même. Et cet argent engrangé va permettre aux trois enfants du clan Middleton d'intégrer des collèges prestigieux et privés.
- Et notamment, lorsque Kate doit faire un choix, c'est vrai, on apprend à ce moment-là que le prince William a choisi l'Écosse et sa dinde rose.
- Et Kate choisit, elle aussi, sa dinde rose. Mais comme beaucoup d'autres jeunes filles à l'époque, elle avait très peu de chance, au final.
- Très peu de chance.
- Oui. J'ai juste une question. Stéphane demande est-ce que c'est une belle personne, Kate ?...
Transcription générée par IA