Retranscription des premières minutes :
- Les vraies voix du foot, 20h-21h, Tonton Maurizio.
- Et la Corée ? La Corée les garçons, la Corée ? Je la connais pas.
- Le Napoléon est champion d'Italie ! Regardez-les, regardez-les ! On est tous en...
- Qu'est-ce qu'ils me font faire ici ? Belle femme carrière.
- C'est extraordinaire.
- J'aurais pu vous demander de vous lever et de faire une Corée.
- Mes parents regardent.
- Quelle belle musique.
- Vous êtes avec Tonton Maurizio, le mec le plus heureux de la planète.
- C'est en les vraies voix du foot avec mes assesseurs, Monsieur Eric Blondel.
- Eric Blondel au...
- Le Napolitan.
- Eric Blondel s'y fera.
- Bonjour mes amis, comment ça va ? Salut Eric, ça va ? Tu vois, on est au top.
- On est au top pour un jour de fête.
- Voilà dans quel état ça va être.
- Pierre Grégoire.
- Bonsoir les amis, très content.
- Vous êtes beau, vous êtes bien habillé.
- Merci, merci.
- Ah, j'essaie pas.
- Alors pour moi, c'est une émission très particulière.
- Oui, oui.
- C'est toi qui va...
- Explique aux auditeurs.
- Non, non, non, non.
- C'est toi qui va donner le nom de l'invité parce que pour moi, c'est très particulier.
- Voilà, c'est une émission riche en émotions parce que nous avons Monsieur Patrick Colléterre, ancien joueur du Paris Saint-Germain, champion d'Europe.
- Bien sûr, on va revenir avec lui sur et sur sa carrière et sur le match à venir.
- La finale de la Ligue des champions.
- Tu m'as coupé.
- Je voulais juste vous dire que je suis le mec le plus heureux de la terre.
- Naples, j'ai annoncé en début de saison que Naples allait être champion d'Italie et que Paris allait gagner la Ligue des champions.
- Regardez les émissions de septembre-octobre.
- Commence pas à nous faire...
- Oui, mais c'est dans un coup, je suis bon en pronostics, ça change tout.
- En pronostics, t'es dangereux.
- Voilà.
- Alors, je vous ai donné grosso modo le saber.
- Je vous donne les deux questions du jour parce que les gens peuvent voter, les auditeurs.
- Vous avez l'habitude maintenant.
- Donc, justement, Paris Saint-Germain-Inter, qui sera le vainqueur de la Ligue des champions et entrera dans l'histoire ? Pour l'instant, vous dites l'Inter à 64%.
- Voilà.
- Pardon ? Oui, oui, oui.
- Les gens pensent plus que ça sera l'Inter.
- Parce que c'est des Marseillais qui votent, c'est pas les Parisiens.
- C'est sûr.
- C'est impossible.
- Je ne sais pas.
- Et la deuxième, c'est Kylian Mbappé.
- A-t-il réussi sa saison ? Et vous dites non à 59%.
- On va revenir pour débattre de tout ça.
- J'ai oublié juste de vous présenter.
- Je suis vraiment désolé.
- J'ai oublié de présenter la petite Marie.
- Voilà, notre réalisatrice du jour.
- Et monsieur, on revient tout de suite avec monsieur Patrick Colléterre.
- A tout de suite.
- Alors, on est avec monsieur Patrick Colléterre.
- Est-ce que tu nous entends, Patrick ? Oui, très bien.
- Patrick est quelqu'un...
- Alors, je le dis souvent, je le répète encore une fois, mais c'est hyper important.
- Tu es quelqu'un de parole.
- On t'a appelé.
- Vous êtes amis avec Eric.
- Il m'a donné tes coordonnées.
- Je t'ai appelé.
- Tu m'as dit oui.
- T'es là.
- Merci.
- Merci d'être avec nous.
- On est très contents.
- Quand on dit ton nom, les gens...
- Bien sûr, peut-être qu'il y a plus du pro parisien, mais tu fais quand même...
- Tu fais de l'unanimité.
- La première question que j'ai envie de te poser, c'est on est à trois jours d'une finale de Ligue des champions.
- T'as connu ça.
- T'as été champion d'Europe.
- T'es positif ? T'es inquiet ? Alors, très positif.
- Avec ce qu'ils ont montré jusqu'à présent, on peut être que confiant.
- Après, ce sera un match compliqué, c'est certain.
- Mais avec ce qu'ils ont montré avant, je pense qu'ils sont capables d'aller la gagner.
- Il y a une vraie squadra.
- Ça te remémore un peu, ça te replonge un peu dans le passé quand vous avez été...
- En présence d'Éric, vous avez gagné la Coupe d'Europe avec Luis Ferdández.
- La Coupe des Coupes, oui.
- En 96, bien sûr.
- Ça te remet un peu dans le bas.
- Ça réveille un peu des choses.
- Oui, un petit peu, bien sûr.
- Évidemment, finale de Coupe d'Europe, il n'y a pas...
Transcription générée par IA