Retranscription des premières minutes :
- Le sapin de Noël, Sud Radio. C'est le jeu, Péricaud. Prenez votre paquet.
- C'est le jeu. Alors, le sapin de Noël. Et je peux vous dire que Maud, elle l'entretient, le sapin de Noël.
- Elle balaie les petites aiguilles tous les jours. Elle met les boules. Le cadeau que la France, dans tous ses états, offre aux auditeurs et aux auditrices de Sud Radio, c'est deux places pour le spectacle des Chevaliers du Fiel à Poitiers. Nos deux héros, qu'est-ce qu'ils sont drôles.
- Ils seront à Poitiers. Allez voir le tout nouveau spectacle. Vacances à Dubaï. Oh, ça doit être quelque chose, ça.
- En tournée dans toute la France, les Chevaliers du Fiel font leur grand retour sur scène et sur Sud Radio chaque jour de la semaine à 17h.
- Ça, vous les entendez. Donc pour pouvoir aller à ce spectacle et vous tendre de rire, vous envoyez Sapin.
- S-A-P-I-N, hein. Pas P1, P1. C'est Sapin. Par SMS au 7-20-18. Sapin par SMS au 7-20-18.
- Et vous pourrez avoir gagné deux places pour retrouver les Chevaliers du Fiel à Poitiers. Résultat, en fin d'émission, Tati Maud va nous donner les résultats.
- À tout à l'heure.
- La France dans tous ses états, les perles du jour.
- C'est une histoire sordide que relate le Parisien. Une nourrice algérienne aurait empoisonné une famille juive.
- France, il y a une péréco.
- Alors, empoisonné parce que juif, point d'interrogation, on se pose la question.
- Oui, une ressortissante algérienne de 42 ans, comparée aujourd'hui devant le tribunal de justice de Nanterre, pour avoir introduit des substances nocives dans l'alimentation et le traitement cosmétique de la famille qu'il employait.
- Un couple de trentenaires et leurs trois enfants de 2, 4 et 7 ans.
- Il s'avère que cette famille est de confession juive et qu'immédiatement, lorsque l'on a constaté, ces introductions de produits nocifs et les dégâts que ça a occasionnés, la maman s'est brûlée les yeux.
- Les enfants, ils trouvaient que le jus de raisin avait un goût bizarre.
- On a vu qu'il y avait de l'eau javel dedans.
- La question a été, est-ce qu'elle l'aurait fait comme elle est algérienne ? Est-ce qu'elle serait un peu politisée ? Est-ce qu'elle l'a fait par antisémitisme ? C'est ce que le tribunal va essayer de savoir.
- La défense de l'Algérienne qui, du coup, a été frappée d'OQTF.
- Je rappelle que l'affaire a eu lieu en 2024.
- Donc, ça m'aime.
- Il y a eu un certain temps pour sortir.
- On le sait, aujourd'hui, c'est médiatisé parce qu'il y a procès.
- Mais ça n'a pas été révélé au départ.
- Donc, la défense de cette Algérienne dit que pas du tout.
- C'est un simple conflit social.
- Effectivement, elle n'avait pas à faire ça.
- Mais c'était juste parce qu'il y avait un antagonisme et des relations violentes.
- Malgré tout, mettre de l'eau de javel dans le jus de raisin des enfants et d'autres produits toxiques dans l'alimentation et dans le vin des parents, c'est quand même grave.
- Alors, même s'il y a eu conflit social, et je veux bien même qu'elle puisse avoir des raisons de se plaindre, peut-être qu'elle n'a pas été respectée socialement.
- De là à empoisonner les aliments avec des enfants de 2, 4 et 7 ans et de mettre des produits nocifs dans le maquillage de la maman, je trouve que c'est assez violent.
- Rien que pour ça, c'est évidemment inadmissible.
- Et alors, si en plus, le tribunal considère qu'il y a eu antisémitisme, ça, ce sont les débats de justice.
- Et diront, évidemment, ça aggrave la chose.
- Enfin, on vit des choses...
- Il y a toujours eu des tragédies dans l'histoire, ma chère Maude.
- Mais là, quand même, cette affaire-là, on vous en a parlé.
- C'est un peu disproportionné.
- Elle nous interpelle.
- Alors, un village sommé de versées, 44 millions d'euros.
- Vous avez bien dit 44 millions d'euros.
- Vous n'êtes pas en fait ça.
- Non, malheureusement.
- À une société d'éoliennes.
- C'est un village de charantes.
- Comment on a pu en arriver là ? Passez-moi l'expression.
- Mais c'est vrai que les villages, je n'en suis pas assez avec les suppressions de commerce dont on parlait hier, les refus de subventions, les écoles qui ferment.
- Donc là,...
Transcription générée par IA