Retranscription des premières minutes :
- « Midi 14h, Sud Radio, la France dans tous ses états. » « Le moment que vous préférez, Péricaud ? » « Petit Patrick Noël, quand tu descendras du ciel, n'oublie pas nos petits souliers. » « On m'a désolé, Patrick Roger. » « Salut Jean-Patrick Roger, le directeur général de l'antenne qui a tenu à refaire cette année le sapin de Noël de Sud Radio, un sapin magnifique avec des boules de guirlande.
- Voilà, et alors, aujourd'hui, l'émission « La France dans tous ses états » vous propose un robot aspirateur E-Bot Z5.
- J'adore les terminologies un peu complexes comme E-Bot Z5.
- J'ai l'impression que c'est un vaisseau spatial, on ne va pas en faire le tour de la Lune, on revient.
- De la marque EasyClean.
- Alors, prononcez EasyClean.
- Le EasyClean, le robot aspirateur EasyClean.
- Attention, tenez-vous bien.
- Moderne, efficace et autonome.
- Le futur du ménage.
- Ça, c'est déjà chez vous pour vous, messieurs.
- Pendant que madame ira faire des courses pour vous acheter un cadeau de Noël, eh bien, pour gagner ce robot aspirateur que nous offre Sud Radio, envoyez sapin, non, sapin, l'arbre, pas le cercueil, sapin, par SMS au 72018.
- Je répèle, envoyez sapin par SMS au 72018.
- Et Maud Noël, tout à l'heure, vous donnera le nom de l'heureuse ou de l'heureux gagnant.
- Sud Radio, la France dans tous ses états.
- Merle du jour.
- Investie par Renaissance à Marseille, la candidate d'hiver droite Martine Vassal était interrogée lundi matin chez nous, sur Sud Radio, quant à une éventuelle alliance avec le Rassemblement National, le second tour.
- Et voilà ce qu'elle a répondu.
- Ça n'a pas fait plaisir à tout le monde.
- Accorder le droit de vote à toutes les personnes étrangères.
- Alors, on va remettre Martine Vassal.
- Avec le Rassemblement National.
- Mais il y a un premier tour.
- Mais pourquoi est-ce qu'on parle aujourd'hui du deuxième tour ? On ne parle pas du premier tour.
- Non, mais attendez, il y a un premier tour d'abord.
- Mais ce n'est pas une question de fermer.
- C'est qu'aujourd'hui, il y a un premier tour.
- Moi, je suis extrêmement concentrée sur le premier tour.
- Le premier tour, aujourd'hui, il n'y a pas 36 solutions.
- Il y a l'extrême gauche, l'extrême droite et il y a nous au milieu.
- Et c'est un mandat local.
- Ce n'est pas un mandat national.
- C'est là que j'essaye d'expliquer des choses.
- L'élection municipale, elle est locale.
- Elle n'est pas parisienne.
- Elle est marseillaise.
- C'est la deuxième ville de France.
- Et vous verrez bien, j'imagine, ce qui se passera au soir du premier tour, en ce qui concerne le deuxième.
- C'est important.
- C'est un débat qui est national.
- On verra à ce moment-là.
- Justement.
- Vous verrez.
- Alors, ma chère Maud, Martine Vassal met les pieds dans le plat.
- Et en mettant les pieds dans le plat, elle s'en mêle les pinceaux.
- Elle se prend les pieds dans le tapis.
- Oui, on comprend très bien.
- Bien entendu, priorité dégagée, la gauche de Marseille.
- Donc, la fameuse formule de Georges Clemenceau, quand il y a le feu à la maison, on ne regarde pas qu'il passe les seaux d'eau.
- Je comprends que c'est cette philosophie-là qui est appliquée.
- Pour autant, il faut avoir un minimum de cohérence vis-à-vis des électeurs.
- On joue évidemment, j'allais dire, le paramètre local, municipal.
- Donc, on ne regarde pas ce qui se passe à l'Iran-France.
- Et on dit, pour sauver Marseille, c'est le droit de Martine Vassal de le présenter de cette façon.
- Nous allons faire une alliance la plus large.
- On va ouvrir ce camp majoritaire de la droite.
- Et on prendra tout le monde.
- On prendra tous ceux qui veulent bien venir.
- Y compris des gens du Rassemblement national.
- Et peut-être aussi des amis d'Éric Zemmour.
- Alors, ça pose quand même un problème.
- Si ces gens sont fréquentables et praticables, praticables à l'échelon local, à l'échelon municipal, pour une campagne politique, démocratique, auquel on va demander aux électeurs de voter pour une liste qui regrouperait toute la droite au sens large, c'est une idée qui a été émise par d'autres leaders de la droite.
- Oui, bien sûr.
- À ce moment-là, on dit qu'au niveau national, aussi, s'ils sont...
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