Retranscription des premières minutes :
    
    - Excellent réveil. Vous êtes bien dans le petit matin de Sud Radio. Très bonne fin de semaine. Il est 5 heures.
- C'est radio ! Parlons vrai.
- Et le journal de 5 heures nous est présenté par Laurie Leclerc. Bonjour, Laurie.
- Bonjour, Benjamin. Bonjour à tous.
- Et on va revenir dans le journal sur cette victoire symbolique pour le Rassemblement national à propos de l'accord franco-algérien de 1968.
- Pour la première fois, un texte proposé par le Rassemblement national est approuvé à l'Assemblée.
- Les autres titres de l'actualité, Laurie.
- Dans la Drôme, un couple porté disparu. Leur voiture a été emportée par les eaux. Les recherches reprennent ce matin.
- Deux policiers accusés de viol au sein du tribunal de Bobigny. Ils ont été placés en garde à vue.
- Et puis demain, plus de 20 millions de Français se rendront au cimetière pour rendre hommage aux défunts.
- Reportage à suivre dans le plus grand cimetière de Toulouse.
- Mais tout d'abord, cette victoire.
- Historique du Rassemblement national à propos de l'accord franco-algérien de 1968.
- Le texte est symbolique. Il vise à dénoncer l'accord qui crée un régime d'immigration favorable aux ressortissants algériens.
- C'est la première fois qu'un texte proposé par le RN est adopté par les députés.
- À une voix près, 185 contre 184. C'est un coup de tonnerre législatif pour Benjamin Morel, politologue.
- C'est un événement parce que ça montre que vous avez un certain nombre de dites qui ont sauté au sein de l'Assemblée pendant très longtemps.
- Les amendements, les propositions de loi qui venaient du Rassemblement national.
- n'étaient pas votées par les autres groupes politiques au milieu d'une septembre.
- C'est marqué un précédent et est gagné symboliquement sur un sujet qui est très structurant, notamment pour la droite.
- Et donc le RN montre que là-dessus, il peut agir, qu'il est convaincu, qu'il est moteur.
- Et que c'est lui qui donne le tempo. Et le reste de la droite, mis par son allié, a fait pause.
- Et le Premier ministre Sébastien Lecornu appelle à respecter le texte du Rassemblement national et estime que la France doit être...
- Que la France doit renégocier ce traité qui appartient, selon lui, à une autre époque.
- Pour le patron des Républicains Bruno Retailleau, le chef de l'État ne peut ignorer le vote de l'Assemblée.
- Il l'appelle à faire preuve de fermeté avec l'Algérie. Vote qui suscite l'indignation à gauche.
- L'insoumise Daniel Obono fustige la droite aujourd'hui avec l'extrême droite dans la même folie xénophobe et raciste.
- Ce sont ses mots. Marine Tondelier, elle, évoque une honte du message envoyé à une compatriote d'origine algérienne.
- Oui, l'Assemblée nationale, en tout cas, qui adopte pour la première fois un texte venu des rangs du Rassemblement.
- L'Assemblée nationale, qu'en pensez-vous ? Ça vous inquiète ou vous vous en félicitez ? Vous réagissez sur nos réseaux sociaux. Dites-moi ce que vous en pensez.
- Laurie, le Premier ministre qui veut, pour sa part, débloquer 130 millions d'euros l'année prochaine pour les Maisons France Santé.
- Somme que Sébastien Lecornu veut inclure dans le budget de la Sécurité sociale.
- Actuellement discutée en commission à l'Assemblée nationale pour lutter contre les déserts médicaux.
- Les maisons ou centres de santé recevront chacun un forfait de 50 000 euros, selon le Premier ministre, pour protéger les structures grâce, par exemple, à des trafics.
- Bravo à l'embauche de personnel médical.
- Objectif pour Sébastien Lecornu, 2 000 maisons France Santé dans l'ensemble du territoire en 2027.
- Dans la Drôme, deux personnes sont portées disparues.
- Leur voiture a été retrouvée emportée par une rivière encrue.
- La disparition du couple a été signalée dans la nuit de mercredi à jeudi à Nyonce, dans la Drôme.
- Une jeune femme a appelé les secours vers 1h du matin, signalant que la voiture dans laquelle elle se trouvait était emportée par les eaux, véhicule qui a été retrouvé vide, émergeant à peine de l'aigle, alors que la rivière, elle, n'a pas débordé.
- Et de son lit, on écoute Marie-Aimée Gaspari, préfète du département.
- Ce que nous ne savons pas, c'est les circonstances de cet accident.
- Pourquoi nous ne les connaissons pas ? Parce qu'on se retrouve avec un véhicule qui est emporté par un cours d'eau.
- Alors il y a...
    
    
Transcription générée par IA