Retranscription des premières minutes :
- « Midi 14h, Sud Radio, la France dans tous ses états. » « Faut faire des économies hier, faut limiter les dépenses. » « Je vous propose de supprimer les avantages des anciens présidents de la République et des anciens premiers ministres. » « Vous avez une idée du pognon qui fout le camp dans les banquets, les balles, la décoration, le mobilier ? » « Je vous propose donc une diminution des crédits de... » « Allez, dites un chiffre. » « Deux millions... » « Combien ? » C'est l'histoire de 425 athlètes français en colère.
- Dans une tribune publiée aujourd'hui dans les colonnes de l'équipe, s'indigne de la baisse de près d'un tiers du budget du gouvernement pour les sports en 2025.
- « Pognon, pognon, pognon, pognon, pognon, j'entends parler que de ça tous les jours. » « Et quand on doit rester au final, on se dit, est-ce que tout ça a servi à quelque chose en fait ? » Aujourd'hui, les crédits du sport ne pèsent que 0,2% du budget total de l'État.
- « C'est honteux ! » « Bonjour, Tom Benoît. » « Bonjour, Perico Légas. » « Vous êtes... Merci d'être avec nous. » « La France fout-elle son pognon par la fenêtre ? » « Est-ce que nos gouvernants sont de piètres économistes ? » « Est-ce que les finances publiques sont gérées par des gens qui ne sont pas compétents ? » « J'allais dire des branquignoles. Vos mots sont quelquefois sévères. » « Vous êtes devenu la coqueluche des médias. » « Vous êtes un peu insupportable parce que vous avez réponse à tout. » « Vous avez des idées nouvelles sur tout. » « Vous avez une voix de... » « Vous vous imposez sur les plateaux. » « Et puis vous bousculez quand même le landerneau avec des théories nouvelles, des idées novatrices, courageuses, audacieuses, quelquefois un peu téméraires. » « On va essayer d'y voir un petit peu plus clair parce qu'on est en train de discuter aujourd'hui à l'Assemblée nationale, au Parlement, du budget. » « Les Français n'y comprennent pas grand-chose. » « On sait qu'il y a 3 300 milliards de dettes, que le remboursement de la dette engendre des déficits publics gigantesques. » « La France est une grande puissance économique. » « Elle n'est pas ce qu'elle a été. » « On se dit, est-ce qu'il y aurait moyen de mieux gérer cet argent si on avait tout simplement un comptable, un épicier qui dirait, voilà, il y a la charge, il y a les produits. » « Tu ne peux pas dépenser ce que disait Marcel Dassault à son petit-fils Olivier. » « Tu ne peux pas dépenser puisque tu ne gagnes. » « Est-ce qu'aujourd'hui, la France est gérée, les finances publiques de ce pays, malgré qu'on ait des économistes remarquables, des experts, des énarques, est-ce que c'est géré en dépit du bon sens ? » « Alors oui, c'est géré en dépit du bon sens. » « Je vous remercie, Péry Colléga. » « Je passe pour une certaine matière élogieuse, si je puis dire. » « Des économistes remarquables, il n'y en a pas tant que ça, très sincèrement, à ce que je pourrais qualifier comme étant les postes clés, qui sont les postes qui permettent de mettre en application des politiques. » « Et ces postes-là sont même parfois bien plus profonds, je crois que c'est le cas de le dire, que le simple fauteuil du ministère des Finances, c'est Bruno Le Maire, il y a quelques heures, quelques jours, avec François Langlais, » « Lui-même, lorsqu'il prévoyait des dépenses, et Dieu sait, je dis ça tout à fait pieusement, mais chacun sait que je n'ai pas une admiration sans borne pour la politique qui a été menée par M. Le Maire, mais ce que dit Bruno Le Maire, c'est même lorsque je prévois des dépenses, le Premier ministre, en l'occurrence Elisabeth Borne à l'époque, prévoit d'augmenter le nombre, la dotation de fonctionnaires.
- Et là, vous avez un milliard, deux milliards de dépenses publiques supplémentaires.
- Donc, il y a deux problématiques. Il y a cette...
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