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Par avec Laurent Fontaine, Pascal Bataille

Laurent Fontaine et Pascal Bataille


Avec Laurent Fontaine et Pascal Bataille, animateurs. Animateurs, acteurs, journalistes, patrons de chaines, ils font l'actualité des médias. Chaque matin, Valérie Expert et Gilles Ganzmann reçoivent ceux qui, dans la lumière ou dans l'ombre, fabriquent vos programmes à la télévision et à la radio. Retrouvez "Sud Radio Média" du lundi au vendredi de 10h à 10h30 sur Sud Radio et en podcast.
Les invités

Animateurs, acteurs, journalistes, patrons de chaines, ils font l'actualité des médias. Chaque matin, Valérie Expert et Gilles Ganzmann reçoivent ceux qui, dans la lumière ou dans l'ombre, fabriquent vos programmes à la télévision et à la radio. Retrouvez "Sud Radio Média" du lundi au vendredi de 10h à 10h30 sur Sud Radio et en podcast.

Valérie Expert et Gilles Ganzmann avec Laurent Fontaine, Pascal Bataille

Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 5 premières minutes de votre émission :

"Vous êtes de retour, il n'y a que la vérité qui compte, formidable duo, formidable émission."

Valérie Expert : Bonjour à toutes et à tous, bienvenue pour ces deux heures, avec vous sur Sud Radio. Bonjour Gilles Ganzmann.

Gilles Ganzmann : Bonjour Valérie.

Valérie Expert : J'ai un problème d'écouteur.

Gilles Ganzmann : Moi j'ai un problème de voix. Je veux ouvrir le rideau pour retrouver ma voix.

Valérie Expert : Nos invités aujourd'hui, Pascal Bataille et Laurent Fontaine, bonjour, bonjour à tous les deux.

Pascal Bataille & Laurent Fontaine : Bonjour à vous deux.

Valérie Expert : Vous êtes de retour, il n'y a que la vérité qui compte, formidable duo, formidable émission. Pardon, demain, on entend la musique, bravo, 21h20, il y aura cette musique demain ?

Pascal Bataille : Bien sûr. On a conservé le générique original, tout est au…

"On court plus aussi vite que sur le générique."

Gilles Ganzmann : Des personnages ?

Pascal Bataille : Non, la musique, on n'a pas gardé, parce qu'on a un peu vieilli, donc on court plus aussi vite que sur le générique.

Valérie Expert : Bon, donc demain, alors il y avait eu, on en avait parlé, vous étiez venu en On en a parlé ici même, il y avait eu des rediffusions d'anciens numéros, là ce sont, c'est du frais comme on dit, c'est-à-dire que vous avez, combien d'émissions on se prévue ?

Laurent Fontaine : On a enregistré une dizaine d'émissions il y a quelques semaines, et voilà, pour une quarantaine, cinquantaine de cas de nouvelles histoires.

Gilles Ganzmann : Mais vous nous aviez menti, on vous avait dit, est-ce que ça peut se refaire ? Vous nous avez dit, non, jamais, parce qu'avec les réseaux sociaux, avec les réseaux sociaux, les gens se retrouvent, on ne pourrait pas avoir, on n'aurait pas de candidat, on est d'accord, vous nous aviez dit ça ?

Pascal Bataille : on avait beaucoup, on avait ces interrogations très honnêtement, Valérie et Gilles, on était sincères en vous disant ça, et ça a été l'objet de vraiment une grande partie de notre travail dans les mois qui ont précédé l'acceptation déjà de la proposition de C8, et puis ensuite, les tournages, ça a été à la fois de valider que les personnes qui passeraient dans les missions étaient quand même suffisamment prévenues et armées pour résister aux éventuelles déflagrations sur les réseaux sociaux, bien que Laurent a raison de le souligner souvent, quand on regarde les commentaires qui existent aujourd'hui sur Facebook, YouTube, etc., sur les vieilles histoires, les histoires de l'époque TF1, c'est d'une bienveillance.

Gilles Ganzmann : Oui, mais moi j'étais plutôt sur, maintenant on peut retrouver…

Pascal Bataille : Alors ça c'était un vrai doute, et on a été les premiers surpris par l'afflux de candidatures et de demandes.

"Désormais, tous les regards sont tournés vers les otages."

Valérie Expert : On va en reparler avec vous dans un instant. (Vous avez pas écrit ?) Vous allez le découvrir derrière le rideau peut-être ? (Je l'ouvrirai.) J'ai quelque chose à vous dire. On se retrouve tout de suite puisque c'est le zapping, voilà, je vais vous mettre perturbé.

Gilles Ganzmann : Allez, au quatrième jour de l'attaque du Hamas sur Israël. Désormais, tous les regards sont tournés vers les otages. On a entendu des témoignages dans l'émission de Jean-Jacques Bourdin. Témoignages de familles qui sont inquiètes et multiplient également les messages comme celle de cette mère dont les deux filles de 8 et 15 ans ont été enlevées par le Hamas. Elle a délivré un message à ses enfants, c'était sur BFM. "Je ferai tout. Nous ferons tout pour vous ramener. Nous serons toujours là pour vous. Le gouvernement fait tout pour vous ramener. En tant que civils, nous ne savons pas tout. Le gouvernement ne peut pas tout nous dire. Faites ce que vous disent les preneurs d'otages. Soyez fortes, vous êtes des héroïnes. Le pays tout entier est avec vous et avec tous ceux qui sont retenus en otage. Tout le monde vous aime." Vous l'avez peut-être entendu hier, Laurent et Pascal, le coup de gueule de l'animateur Arthur qui trouve que le monde des artistes est bien silencieux face à ce massacre. "Vous avez partagé un gros coup de gueule sur Instagram cette nuit. Oui, je suis un petit peu en colère parce que mes amis du métier sont très silencieux, très discrets, je ne comprends pas pourquoi. On est là quand il s'agit de toutes les causes et celle-ci, c'est comme le Bataclan. Je suis sidéré par le silence de mes camarades, mais il n'est jamais trop tard."

Laurent Fontaine : Je suis totalement d'accord avec celui d'Arthur. J'étais au Trocadéro dimanche soir, donc je ne me sens pas concerné par ce qu'il a dit, mais je suis d'accord avec lui, bien sûr. Évidemment, totale solidarité, on le fait pour plein d'autres causes. Et là, on a l'impression qu'il y a certains qui hésitent à se positionner par rapport à un public, par rapport à une opinion publique. Je suis très étonné et choqué.

Valérie Expert : Comment vous le comprenez, Pascal ?

Pascal Bataille : Je ne le comprends pas forcément, mais je n'ai pas forcément envie d'analyser ça et d'aller sur ce terrain. Je trouve que le drame est suffisamment grave. (...)

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