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Gérald Darmanin refuse de rejoindre ou de soutenir un gouvernement qui augmente les impôts


Gérald Darmanin refuse de rejoindre ou de soutenir un gouvernement qui augmente les impôts : Débat avec Maxime LLedo et Jean-François Achilli

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Bien. Nous sommes avec Louis de Kergorlé. Louis, j'ai envie de savoir. Et les auditeurs ont envie de savoir. J'en suis certain.
- Cette histoire de beeper... Moi, je ne comprends rien. 9 personnes tuées, 2 800 blessés hier, tous membres du Hezbollah.
- Tout est lié à un appareil, un beeper. Dites-nous, Louis, qu'est-ce que c'est, beeper, et comment peut-on les actionner à distance ? Alors, les beepers, c'est un appareil de communication très utilisé dans les années 80-90. C'est un petit peu l'ancêtre du téléphone portable, un boîtier qui fait environ la taille d'une boîte d'allumettes et qui fait bip pour signaler une urgence ou peut permettre d'envoyer des courts messages.
- Donc il était très utilisé par les médecins ou dans l'hôtellerie-restauration pour répondre à des urgences.
- Il est encore utilisé aujourd'hui par des organisations terroristes comme le Hezbollah. Ils présentent deux avantages.
- Ils utilisent leur propre fréquence de communication et ils sont intraçables.
- Bien. Mais comment...
- Comment les explosions ont pu arriver ? Pourquoi explosent-ils ? Alors deux hypothèses sont privilégiées pour l'instant. La première, vous infiltrez la batterie via un ordinateur sur la fréquence unique où sont réglés tous les beepers et vous les faites surchauffer et exploser. Autre hypothèse, il est tout à fait possible que les beepers aient été piégés à l'explosif et déclenchés grâce à un signal ou message précis. 10 ou 20 grammes d'explosif militaire auraient pu suffire à provoquer l'hécatombe d'hier.
- D'ailleurs, plusieurs témoignages parlent bien d'un bip reçu...
- D'accord. Bien. Il est... Merci pour ces précisions, hein, qui sont utiles pour comprendre.
- 8h25, Maxime Trouleau, on en parle. À partir de ce matin...
- Oui.
- Nous ne ferons plus nos courses comme d'habitude.
- Oui. Il y aura toujours ce petit bip à la caisse, évidemment.
- C'est quoi, ça ? Très reconnaissable, quand on passe à la caisse, le petit bip quand on fait passer nos articles.
- On reconnaît le code, oui.
- Voilà, qui est synonyme souvent de factures qui grindent.
- Oui.
- Sauf que désormais, vous allez vous rendre compte que ce montant est en fait bien plus élevé qu'il n'y paraît.
- Oui, derrière ce petit ticket de caisse, il y a un coût, Jean-Jacques, caché de notre alimentation, c'est-à-dire en fait les conséquences sanitaires, environnementales, sociales de ce que vous mangez au quotidien.
- Et ce rapport qui est sorti hier, il estime ses conséquences financières à 19,48 milliards d'euros par an en France.
- Par exemple, Jean-Jacques, rien que pour soigner les Français atteints de diabète, la société française dépend...
- Chaque année, 11 milliards d'euros.
- Ça veut dire que si nous mangeons mieux, nous dépenserions moins.
- Voilà. Alors pas directement, c'est le coût pour la société.
- C'est une chose...
- Fallait-il un rapport ? Oui, fallait-il un rapport ? Ça, c'est typiquement français, oui.
- Eh bien ce rapport, il a permis en tout cas de le quantifier, de se rendre compte du phénomène que c'est.
- De chiffrer, oui.
- Alors on le chiffre également aussi pour...

Transcription générée par IA

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