Retranscription des premières minutes :
- 16h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delavalle.
- Bonjour à tous, je suis ravi de vous retrouver jusqu'à 17h.
- Alors vous savez que dans c'est votre avenir, on prend le temps d'écouter ce que la vie essaie de vous dire et même à travers vos doutes, vos changements ou vos épreuves.
- Parce qu'au fond, chaque situation vous invite à grandir, à mieux vous comprendre et à reprendre aussi votre pouvoir intérieur.
- Alors aujourd'hui, on va parler de transformation, de libération et de réalisation.
- Comment se détacher de certaines influences qui vous freinent ? Comment se sentir pleinement à sa place dans une reconversion ? Et comment faire évoluer aussi un métier de passion sans s'y perdre ? Autant de questions que vous êtes nombreux à nous poser chaque jour et auxquelles je vais vous répondre ensemble avec intuition et bienveillance.
- Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delavalle.
- Et pour démarrer cette émission, je vais commencer avec un premier SMS parce que si vous souhaitez envoyer des SMS, vous pouvez dès à présent au 72018 en notant dessus votre SMS le mot à venir, aussi votre prénom, votre date de naissance et votre question bien entendu, ainsi que votre numéro de téléphone.
- Et puis si vous voulez nous joindre, n'hésitez pas à l'entendre.
- C'est ouvert 0826 300 300.
- Et j'ai Francis qui nous a laissé cet SMS qui nous appelle des Pyrénées-Atlantiques.
- Je suis locataire et j'ai du mal à payer mon loyer.
- Mon rêve est de finir mes jours en me rapprochant de mon frère qui est dans l'Isère.
- Est-ce que cela sera possible ? Eh bien oui, pour moi, Francis, vous allez pouvoir progressivement évoluer, avancer dans votre situation matérielle.
- Et je pense...
- Je pense et même je ressens, pour être beaucoup plus clair avec vous, que dans une période à peu près de 3 à 4 ans, eh bien vous serez amené à pouvoir prendre une décision et à vivre peut-être ce changement de vie et retrouver, vous rapprocher de votre frère dans l'Isère.
- Et à présent, j'accueille ma première auditrice, Franca.
- Bonjour Franca.
- Bonjour Alexandre.
- Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Franca.
- Merci.
- Alors, vous nous appelez...
- Lille.
- Oui.
- Et vous avez, après quelques années de relation, vous avez décidé de stopper votre relation avec votre conjoint.
- Pour quelles raisons ? Ben, parce que je me sentais très seule en étant en couple.
- J'ai vécu des moments très difficiles et je ne l'ai pas trouvé présent.
- Je lui ai dit, je l'ai alerté que je me détachais, que j'avais besoin de plus de sa présence.
- Il a pris ça comme des menaces, alors que ce n'étaient pas des menaces.
- J'ai essayé de nous sauver.
- Et maintenant, je suis complètement vide par rapport à cette relation.
- Je n'ai plus aucun manque.
- Et maintenant, il a compris tout ce que j'ai toujours demandé.
- Mais j'ai l'impression que c'est trop tard vis-à-vis de moi.
- Alors, excusez-moi, j'ai du mal à comprendre quand vous dites qu'il a pris ça comme des menaces.
- En sachant que...
- Pendant un certain temps, vous avez quand même essayé de lui faire entendre, de lui faire comprendre que ça ne va pas, qu'il a voulu être dans le déni, ou qu'il l'a été, tout au moins.
- Et quand vous lui dites stop, il me dit que, tout simplement, ce sont des menaces.
- C'est ça ? En fait, non.
- Avant que je lui dise stop, quand j'essayais de lui faire comprendre que ça n'allait pas, il me prenait ça pour des menaces.
- Mais ce n'étaient pas des menaces.
- C'était justement, avant d'en arriver au point de non-retour, je voulais qu'il sache que ça n'allait pas.
- Ben oui.
- Que j'attendais un changement de sa part.
- Mais comment on peut considérer que ce sont des menaces quand quelqu'un vous aimait la personne, que quelqu'un vous exprime un mal-être, des difficultés, à moins que, je ne sais pas, attention, je ne vous juge pas, Franca, mais si vous étiez toujours en train de l'embêter, peut-être, là, on peut considérer que c'est du harcèlement, des menaces.
- Mais si c'était pour le bien-être de votre couple et pour votre équilibre, pourquoi...
- Lui, il réagissait de la sorte ? C'est quelqu'un...
Transcription générée par IA