Retranscription des premières minutes :
- « Spiritualité, bien-être, santé. Les éditions Guitre et Daniel, l'éditeur de références pour trouver le livre qui vous parle, présente... » « Sud Radio, c'est votre avenir, 16h-17h, avec Marie. » Bonjour à tous nos auditeurs Sud Radio, bienvenue dans « C'est votre avenir, de 16h à 17h ».
- Alors, comme toujours, on est là pour vous guider avec le sourire, la bonne humeur.
- Si vous avez des questions sur votre avenir, n'hésitez pas à nous appeler au 0826 300 300.
- Ici, on parle de futur, on parle de signes, on parle de tout ce qui vous inspire.
- Et on fait ensemble la bonne humeur, vraiment, au rendez-vous.
- Donc, n'hésitez pas à appeler Zach, vous attendez au standard de Sud Radio.
- « Sud Radio, c'est votre avenir, 16h-17h, avec Marie. » Alors, pour commencer aujourd'hui sur Sud Radio, je vais vous répondre aux SMS.
- Il y a des personnes qui n'osent pas appeler l'antenne en direct.
- Donc, ils envoient des SMS au 7-20-18, « avenir ».
- Une fois que le message automatique revient, vous envoyez votre prénom, votre date de naissance, votre question.
- J'ai rien oublié, non, j'ai rien oublié.
- Et je réponds à vos SMS à l'antenne.
- Donc là, je réponds à Stéphane.
- « Bonjour Marie, je voudrais savoir si avec ma copine, ça va s'arranger. » Parce qu'il y a beaucoup de disputes.
- Donc Stéphane, il y a une épreuve de séparation, malheureusement.
- Vous êtes un couple qui s'éloigne.
- Si vous voulez vraiment éviter cette épreuve, il faut remettre de la tendresse dans ce couple.
- Voilà, sinon, il y aura une épreuve de séparation, cher Stéphane.
- Et j'ai le plaisir d'accueillir Caroline.
- Bonjour Caroline.
- Bonjour Marie.
- Vous nous appelez d'où, Caroline ? Je vous appelle de Paris.
- De Paris.
- Et alors vous, qu'est-ce qui vous arrive ? Est-ce que ce n'est pas sentimental, vous ? Alors, ça pourrait l'être.
- Mais ma priorité, effectivement, va être plus dans le domaine professionnel.
- Oui.
- Donc là, c'est vrai que je suis un petit peu, enfin, pas un petit peu, complètement à un carrefour, on va dire.
- Et j'aimerais savoir, donc, s'il va y avoir des opportunités du changement à ce niveau-là.
- Dans les semaines à venir, ou pas.
- Moi, je ressens, Caroline, alors, je pense que vous faites un métier d'aide aux autres, c'est ce que je ressens.
- Oui, tout à fait.
- C'est ça, hein.
- Il y a un côté spirituel dans ce que vous faites, un peu ? Oui, tout à fait.
- Et dans les jours qui viennent, les gens vont avoir besoin.
- Quand on voit l'état du monde, les gens ne sont pas bien.
- Je pense que beaucoup d'auditeurs qui nous écoutent se disent, oui, c'est vrai, parce que je pense que les gens vont vraiment très mal en ce moment.
- Et le but, c'est d'aider, c'est de transmettre.
- Alors, oui, ce n'est pas facile, mais je pense que ce n'est pas facile, parce que c'est dans la communication.
- Est-ce que vous fonctionnez un peu du bouche à oreille, mais je n'ai pas un développement très développé sur la communication ? Non, pas vraiment.
- Voilà.
- Et pour moi, il y a des choses comme ça à mettre en place, parce qu'il ne faut pas lâcher, ça va repartir.
- Et surtout, dans les deux ans, j'ai une renaissance totale.
- Donc, j'ai envie de dire, ça va être encore un petit peu compliqué.
- On rame encore un petit peu.
- Il faut mettre cette communication en place.
- Mais je pense que dans les deux ans, il y a une stabilité.
- D'accord.
- Mais en fait, moi, j'aimerais un peu changer d'orientation.
- Mais je ne sais pas vraiment.
- Est-ce qu'il pourrait se prochiller, peut-être ? Dans quel domaine, éventuellement, vous pourriez me voir ? Je ne sais pas.
- Moi, je vois toujours le domaine spirituel à côté, en tout cas.
- Ça, vous n'allez pas arrêter.
- Alors, peut-être que vous allez reprendre quelque chose d'alimentaire à côté pour combler.
- Pour le quotidien.
- Normalement, là, c'est catastrophique.
- Qu'est-ce que vous faisiez avant ? Il y avait du commerce autour ? Je ne vous vois pas enfermée dans un bureau.
- Non, pas du tout.
- Je travaillais dans le prêt-à-porter pendant très longtemps.
- Et après, j'étais...
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