Retranscription des premières minutes :
- Très belle journée avec Sud Radio, vous êtes bien dans le petit matin, il est 5h.
- C'est radio, parlons vrai.
- Et le journal de 5h nous est présenté par Clément Barguin, bonjour Clément.
- Bonjour Benjamin, bonjour à tous.
- Les militants du voilier humanitaire Madeleine ont été transférés à l'aéroport de Tel Aviv en vue de leur rapatriement.
- Ils ont été déroutés hier par Israël alors qu'ils tentaient de rallier la bande de Gaza.
- Les autres titres de l'actualité, Clément.
- Blocage d'aéroport, opération escargot, les taxis se mobilisent à nouveau.
- La réforme du transport sanitaire toujours dans leur ligne de mire.
- Ils sont soupçonnés d'avoir planifié des actions violentes contre des musulmans en France.
- 16 militants d'un groupe d'ultra-droite sont sujets à partir d'aujourd'hui devant le tribunal correctionnel de Paris.
- Et puis un teint éclatant, une peau toujours plus lisse.
- Les contenus pour prendre soin de sa peau, on le vend en poupe sur les réseaux sociaux.
- Mais cela n'est pas sans risque.
- Pour les adolescents.
- Tout d'abord le bateau Madeleine qui tentait de rallier Gaza avec à son bord.
- Notamment l'eurodéputé Rima Hassan et l'activiste suédoise Greta Thunberg a été dérouté par Israël.
- Jean-Luc Mélenchon dénonce un acte de piraterie.
- Les 12 membres d'équipage ont été transférés dans la nuit à l'aéroport de Tel Aviv en vue de leur rapatriement.
- C'est ce que font savoir ce matin les autorités israéliennes.
- Qui précisent que ceux qui refusent de signer les documents d'expulsion et de quitter Israël seront traduits devant une autorité judiciaire.
- Emmanuel Macron assure lui que la situation des ressortissants français du bateau est suivie avec beaucoup de vigilance par le quai d'Orsay.
- Le président de la République a également dénoncé le blocus israélien.
- Et surtout la France appelle à un cessez-le-feu au plus vite.
- Et à la levée du blocus humanitaire.
- Le scandale, l'inacceptable qui se joue à Gaza, c'est cela.
- Et c'est ce qui depuis début mars est une honte.
- Une honte.
- Et donc j'ai encore eu et le président des Etats-Unis d'Amérique et l'émir du Qatar qui jouent un rôle extrêmement important dans la négociation.
- Et en disant que maintenant il fallait qu'on obtienne enfin ce cessez-le-feu, la libération des otages et une réouverture des routes humanitaires.
- C'est indispensable.
- Emmanuel Macron en marge du sommet des océans à Nice où plus de 60 chefs d'Etat et de gouvernement sont réunis.
- Le traité sur la haute mer devrait être ratifié par suffisamment de pays pour pouvoir entrer en vigueur.
- Il doit permettre d'augmenter le niveau de protection des eaux mondiales.
- La colère ne retombe pas chez le chauffeur de taxi.
- Après avoir claqué la porte des négociations avec le ministère de la Santé et l'assurance maladie jeudi dernier, leurs représentants appellent à de nouvelles mobilisations.
- En ligne de mire, la réforme du transport sanitaire qui prévoit un forfait national de 13 euros pour les 4 premiers kilomètres puis un tarif au kilomètre.
- Un système censé limiter les retours à vide mais jugé injuste et irréaliste par les chauffeurs.
- Après avoir bloqué le boulevard Raspail pendant deux semaines à la mimée à deux pas du ministère des Transports, les taxis visent désormais le quartier du ministère de l'économie et des finances Marifolio.
- Dans son taxi, Bekir ne cache pas son inquiétude.
- Pour lui, le gouvernement fait la sourde oreille alors aujourd'hui, il ne veut rien lâcher.
- On ne cherche pas des solutions.
- Il y a un ras-le-bol complet.
- Là aujourd'hui, on est vraiment inquiets pour nos sociétés, pour nos familles et pour notre gain de main tout simplement.
- Rachid Boudjema, président de l'Union nationale des taxis viendra demain de Marseille.
- Pour manifester son incompréhension face à la nouvelle convention tarifaire.
- Les transports que réalisent les taxis doivent être payés à juste titre.
- Et aujourd'hui, ce que nous dit l'assurance maladie, c'est que vous allez faire des transports et vous allez me faire des cadeaux sur la note de vos transports.
- Ce que je ne veux pas assumer, c'est vous, transporteurs, qui allez l'assumer.
- Plus de la moitié de l'activité de Fabrice Forger, chauffeur dans l'Orne, réside dans le transport de Malane.
- La réforme menace, selon lui, les entreprises de la région.
- Si ça ne bouge pas, ça...
Transcription générée par IA