Retranscription des premières minutes :
- « Il est 8h. » « Parlons vrai. » « Les informations avec Clément Barguin. Clément, bonjour. » « Bonjour Jean-Jacques, bonjour à tous. » « Le sommet pour les océans ouvert depuis hier à Nice, le traité sur la haute mer devrait être ratifié.
- Son entrée en vigueur est espérée avant la fin de l'année. » Les premiers résultats de parcours subtombés, la course au logement étudiant est lancée.
- Un véritable parcours du combattant dans de nombreuses villes.
- Face aux manifestations contre sa politique migratoire, Donald Trump déploie des milliers de soldats à Los Angeles.
- L'ONU appelle à la désescalade.
- Et puis le rugby français continue d'attirer les foules.
- Le top 14 enregistre un nouveau record de fréquentation avec près de 3 millions de spectateurs.
- Troisième conférence des Nations Unies sur l'océan à Nice.
- « On doit se réjouir parce que cette conférence a lieu à Nice, en France.
- Et j'ai remarqué que les médias en parlaient peu.
- Oui, peu. Beaucoup moins que du voyage de Greta Thunberg vers les côtes israéliennes.
- Greta Thunberg et Reema Hassan. Mais bon, c'est ainsi. » Emmanuel Macron annonce d'ores et déjà plusieurs avancées.
- Le chef de l'État en a même profité, Maxime Trouleau, pour glisser un tacle à son homologue américain.
- « Oui, Donald Trump absent, sans surprise, de ce sommet environnemental.
- Emmanuel Macron a rappelé de ne pas être contre l'activité.
- Mais ne veut pas une économie qui détruit la biodiversité.
- Il ne faut pas faire d'exploitation avant de faire de l'exploration. » A donc déclaré Emmanuel Macron avant de glisser un petit pic à Donald Trump.
- « Ce combat est vital pour nous tous.
- Et je le dis ici avec force, les abysses ne sont pas à vendre.
- Et pas plus que le Groenland n'est à prendre.
- Pas plus que l'Antarctique ou la Haute-Mer ne sont à vendre.
- Pas plus que les licences de pêche des pays en développement ne sont à vendre. » « Pas plus que les licences de pêche des pays en développement ne sont à vendre. » « Pas plus que les licences de pêche des pays en développement ne sont à donner.
- Pas plus que les données scientifiques ou la sécurité des populations littorales ne sont à sacrifier. » Dans ce sens, Emmanuel Macron a annoncé d'ores et déjà plusieurs avancées sur la protection de nos océans.
- La protection en Haute-Mer, d'abord document signé hier par 55 Etats membres contre 8 seulement l'année dernière.
- Il en faut 60 pour ratifier le texte attendu avant le 1er janvier prochain.
- Et puis sur les aires marines protégées, cette zone va doubler pour les zones économiques exclusives de chaque pays.
- Une avancée majeure.
- Il y aura trois jours donc de la fin de cette conférence des Nations Unies sur l'océan.
- Les précisions de Maxime Trouleau.
- « Emmanuel Macron qui sera au Groenland, je crois, dimanche.
- C'est l'un des enjeux de la préservation des océans, la lutte contre l'érosion du littoral. » Comment lutter contre ce phénomène ? Marseille a peut-être trouvé une solution 100% naturelle.
- La ville se sert des algues qui s'échouent pour faire barrage à la montée des eaux.
- Le procédé semble fonctionner.
- Il a été testé sur plusieurs plages où l'érosion fait des ravages.
- Lionel Maillet.
- De moins en moins de place.
- Pour poser sa serviette, les habitués voient la mer gagner du terrain sur cette plage du Prophète.
- « En 10 ans, elle a énormément perdu.
- Et avant, elle allait quasiment jusqu'au bout des rochers.
- Donc ça fait quand même peut-être 20 mètres.
- Elle était beaucoup plus longue.
- On ne viendra sûrement pas quand on sera vieux sur cette plage.
- Enfin, on ne pense pas. » La solution se trouve peut-être au fond de l'eau avec la posidonie, une algue qui vient s'échouer sur le sable et n'est volontairement plus ramassée pour stopper l'érosion.
- Explication d'Hervé Manchon, l'adjoint à la maire pour la ville de Marseille.
- « Ici, on se retrouve devant...
- un tas d'herbes mortes de posidonie qui s'est accumulée là où frappent les vagues, sur le trait de côte.
- Ça s'élève, ça forme des petites falaises de 50 centimètres.
- Et on a constitué comme ça un millefeuille.
- Ce millefeuille fait...
Transcription générée par IA