Retranscription des premières minutes :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize.
- Il est à 6h34 avant de retrouver Félix Mathieu pour la revue de presse.
- Je vous rappelle que vous pouvez gagner ce matin un très beau cadeau offert par Sud Radio.
- J'ai été le chercher tout à l'heure au pied du sapin avec plein de cadeaux.
- Et celui-ci, un bon d'achat de 200 euros pour le site Maison Scarlett.
- Maison Scarlett, c'est la marque de boîtes à bijoux.
- Vous chouchoutez vos colliers, vos boucles d'oreilles ou encore vos montres avec les boîtes à bijoux fonctionnelles, jolies mais également accessibles.
- Pour gagner, c'est simple, vous envoyez sapin, S-A-P-I-N, par SMS au 72018.
- Sapin au 72018, bonne chance à tous.
- Allez, bonjour Félix Mathieu.
- Bonjour Benjamin, bonjour tout le monde.
- La revue de presse donc, et on commence par une citation du maire de Marseille qui fait la une de la Provence au lendemain d'un conseil municipal particulier.
- En présence, en l'occurrence, d'Amine Kessassi.
- Nous n'avons pas peur à lancer Benoît Payan au jeune militant anti-drogue endeuillé par l'assassinat de son deuxième frère Mehdi.
- Les élus ont voté une aide exceptionnelle à conscience son association.
- Il est devenu le symbole de la lutte contre le narcotrafic.
- Le visage des familles meurtries, raconte la Provence.
- Alors, quand il est entré dans l'hémicycle municipal, son escorte policière à quelques mètres de lui, les élus de tous bords se sont levés et l'ont applaudi.
- Amine Kessassi qui en a appelé un sursaut de l'État.
- À l'heure de ce conseil municipal, services publics, centres sociaux, transports, formations, tout cela pêle-mêle pour proposer aux enfants des quartiers une alternative au réseau, a-t-il dit.
- Du côté de la dépêche du milieu, des tracteurs sur la route des vacances.
- La colère des agriculteurs ne faiblit pas.
- Après plus d'une semaine de mobilisation, blocage autoroutier, barrages filtrants, accès perturbés aux stations de ski, tout cela risque de se dresser sur la route des vacances.
- Les syndicats font bloc contre le Mercosur.
- Notre titre, le courrier Picard, au lendemain du report au mois de janvier par la Commission européenne de ce dossier du Mercosur, puisque c'est désormais ça aussi qui cristallise la colère au-delà du protocole sanitaire sur la dermatose.
- On termine avec la une de Charente-Libre qui nous parle d'un secteur qui prend l'eau dans le sillage du vin et du cognac, c'est la tonnerie.
- En effet, domino, les entreprises qui fabriquent les tonneaux souffrent à leur tour après les viticulteurs et les producteurs de cognac.
- Dans le bassin cognacé, par exemple, la société Vicard a vu ses commandes baisser de 30% cette année.
- C'est un peu comme ça.
- Elle va donc licencier 8 personnes, 7% de ses effectifs.
- Alors les entreprises plus grosses sont tapées en premier sur les intérimaires, explique Charente-Libre.
- Plusieurs raisons à ça, baisse de la consommation, les maladies viticoles qui ont mis les récoltes à mal, les accidents climatiques aussi, grêle, sécheresse et puis les surtaxes douanières de Donald Trump de 15% aux Etats-Unis.
- Il y a même aussi eu l'inflation du prix du chêne, la matière première des tonneaux.
- Alors, bon, il y a eu un peu d'activité.
- L'approche défaite.
- Elle est faite du mois de décembre.
- Mais ensuite, pour janvier, pour février, beaucoup redoutent un passage à vide dans les tonnelleries avec sans doute du chômage partiel, des plans sociaux, des licenciements.
- Dans l'entreprise Seguin-Moreau, par exemple, déjà trois départs en retraite ne seront pas remplacés, nous explique Charente-Libre.
- Merci beaucoup, Félix Mathieu.
- Vous nous parliez à l'instant, Félix, aussi des tracteurs sur la route, des vacances, les blocages autoroutiers du côté des agriculteurs, la colère qui continue, qui se poursuit.
- Ça a des conséquences aussi pour des...
- Pour les routiers, pour les poids lourds qui se retrouvent bloqués.
- Et on sera justement dans un instant avec le délégué général de l'OTRE.
- C'est l'Organisation des Transports Routiers Européens à l'approche des fêtes de Noël.
- Forcément, il y a des inquiétudes dans le secteur.
- A tout de suite.
- .
Transcription générée par IA