Retranscription des premières minutes :
- Le Petit Matin Sud Radio. 5h-7h. Benjamin Gleize.
- Il est 5h32. C'est l'heure de retrouver Maxime Trouleau. Bonjour, Maxime.
- Bonjour, Benjamin. Bonjour à tous.
- Pour votre revue de presse, on commence avec la une de Nice ce matin.
- Troisième édition du sommet sur la protection des océans. Ça se passe en ce moment à Nice.
- Accor, en vue, serait joué le journal.
- Oui. Démarrage positif, nous dit Nice ce matin, avec Emmanuel Macron qui fait la une du journal.
- Et ses propos du chef de l'État, les abysses, ne sont pas à vendre un petit tacle à un certain Donald Trump qui, de son côté, lui a lancé de grandes explorations des fonds marins.
- Du côté des États-Unis, le secrétaire général de l'ONU, lui, de son côté, a exhorté le monde à faire bouger les choses et à rappeler notre profonde dépendance à l'égard de l'océan.
- En tout cas, fin de journée, hier, lors d'une conférence de presse, le président français lui est revenu sur les quelques avancées de ce sommet qui sont d'ores et déjà consolidées en tête, notamment le traité sur la protection en haute mer qui doit être ratifié par 60 États pour être adopté.
- Ce pourrait être le cas.
- Il y a un an, il y avait 8 ratifications, nous dit le chef de l'État.
- Nous avons travaillé d'arrache-pied ces derniers mois.
- Nous avons d'ores et déjà 55 ratifications effectuées et déposées.
- Il n'en manque plus que 5.
- Ça pourrait entrer en vigueur le 1er janvier prochain.
- C'est réjoui donc le président de la République.
- Haute grande réalisation selon le chef de l'État.
- Fondation de nouvelles aires marines protégées avant Nice.
- Elles étaient de 8%.
- Nous arrivons aujourd'hui à 12%.
- C'est réjoui.
- Là également, le président.
- Ce traité sur la haute mer sera bien mis en œuvre.
- C'est donc gagné.
- C'est réjoui le président français à la Voix du Nord ce matin, titre également sous cette protection des océans.
- L'heure est à la mobilisation.
- Elle est une alerte à la une du Figaro.
- Ces universitaires qui vivent sous la menace islamiste en Europe.
- Oui, le phénomène qui concerne des universitaires français.
- Mais aussi étrangers.
- Notamment l'anthropologue Berjo Bacler qui a détaillé en janvier 2023 le système frériste des frères musulmans dans son ouvrage publié dans une prestigieuse maison d'édition.
- Quelques semaines plus tard, détaille le Figaro, elle est placée sous protection policière car menacée de mort par des individus dangereux dont des islamistes.
- Le cas également emblématique de Gilles Kepel.
- Celui qui a documenté la progression de l'islamisme en France et le rôle des frères musulmans.
- Dans le monde arabe et en Europe.
- Ce qui lui a valu le traitement habituel faisant de lui un chercheur controversé.
- Et même entre 2016 et 2008 placé sous protection policière.
- Après avoir été condamné à mort par Rachid Kassim, un djihadiste français.
- Enfin autre cible, le professeur des universités Bernard Rougier qui n'a pas connu de problème quand il travaillait sur le djihadisme en Égypte, au Liban ou en Syrie.
- Mais en 2020, lorsqu'il s'intéresse à la France, il devient un identitaire.
- Visé par certains.
- Mais surtout par 5 procédures en diffamation.
- Les plaignants, une mosquée, une militante décolonialiste, un élu local ou encore un fiché S pour islamistes.
- Reportage à retrouver dans le Figaro ce matin.
- Direction, maintenant c'est mieux avec le micro ouvert.
- Direction la frontière franco-italienne.
- Maxime, cette fois du côté de Montgenèvre.
- Une frontière sous tension, titre la Provence.
- Oui, du côté des Hautes-Alpes.
- Depuis plusieurs semaines déjà, policiers et bénévoles doivent faire face à un afflux.
- Massif de migrants dans des conditions, je cite, la Provence de plus en plus précaires.
- Le phénomène récurrent chaque année à cette période a atteint en 2025 une ampleur sans précédent, raconte le journal en mai dernier.
- Rendez-vous compte, le poste frontière, qui est perché à plus de 1900 mètres d'altitude, a enregistré une explosion des interpellations.
- Plus 245% par rapport à la même perleau de l'an dernier.
- Les exilés, principalement originaires de la Corne de la Ville, de l'Afrique érythréenne en majorité, arrivent par dizaines chaque jour, entre 50 et 150 personnes quotidiennement.
- Il y a urgence, nous disent les policiers, mais aussi pas mal...
Transcription générée par IA