Retranscription des premières minutes :
- « Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize. » « Il est 5h32 sur Sud Radio, il est là, il est à l'heure, Maxime Trouleau, bonjour Maxime. » « Bonjour Benjamin, bonjour tout le monde. » « Je ne sais pas pourquoi je dis il est à l'heure, parce que vous êtes toujours là. » « Toujours, toujours. » « Allez, on commence votre revue de presse du côté de l'héros, où le football amateur est en proie au communautarisme islamiste, c'est-à-dire dans le Figaro. » « Oui, en l'espace de 12 mois, l'union sportive de Montagnac, une petite ville de 4500 habitants au nord de Pézenas, est devenue le troisième club du département privé d'agrément au titre de la lutte contre le communautarisme et le séparatisme.
- Après le club de Juvignac, une commune située en périphérie de Montpellier, le 7 Olympique Football Club, justement le club de 7, aujourd'hui radié, qui s'était vu reprocher notamment de porter comme logo un croissant et une étoile de couleur verte, de ne pas vouloir créer des sections féminines et de dissimuler des tapis de prière. » Alors, le président du club avait répondu et répond au Figaro un logo.
- Il a changé quelques semaines après le contrôle, la création d'une section féminine.
- Mais encore faudrait-il qu'il ait le potentiel, dit-il.
- Et puis les tapis de prière, c'est une vaste blague, dit le Figaro.
- Les contrôleurs ont vu un tapis de prière sur une chaise et ont pensé trouver une mosquée.
- En tout cas, cette question du communautarisme, elle pose problème.
- Avec une réponse parfois compliquée.
- Du côté des éducateurs, quand on explique à nos gamines qu'elles ne peuvent pas jouer avec le voile et que le week-end suivant, dans le département voisin, on affronte une équipe où ça ne pose pas de problème, notre argumentaire est compliqué à justifier, dit-il.
- Alors que le président du FC7 l'assure, si certains des anciens licenciés du club ont retrouvé un club, d'autres sont retournés faire des conneries, je cite, dans leur quartier.
- On passe à cette histoire, maintenant, incroyable.
- Au sens propre du terme, une histoire qui n'est pas croyable.
- Celle de cet homme, un père de famille incestueux, qui avait obtenu le droit d'héberger ses enfants.
- C'est dans le Parisien, aujourd'hui, en France.
- La question se pose directement au début de l'article du Parisien.
- Comment un père de famille condamné pour agression sexuelle de ses enfants peut-il se voir confier à sa sortie de prison un droit d'hébergement pour leurs petits frères et leurs petites sœurs ? Cet homme, Patrice R, a été jugé fin mai pour des viols incestueux sur deux de ses plus jeunes enfants.
- Cet homme de 54 ans a été condamné à 25 ans de réclusion criminelle.
- Il est le père de sept enfants, né de Quatre-Unions.
- Il avait déjà été condamné en 2009 pour l'agression de ses deux filles aînées.
- L'histoire est complètement dingue.
- Elle est racontée dans le Parisien, aujourd'hui, en France, qui raconte qu'il avait écopé de six ans de prison avec un suivi socio-judiciaire en 2009.
- Sauf qu'en fait, il n'y a jamais eu de suivi.
- À cause d'une série d'arrêts de maladies professionnelles, il n'a pas été suivi comme il aurait dû l'être.
- Finalement, il est ressorti sans rendre de compte à personne.
- Il est sorti de prison.
- Et après sa sortie de prison, il s'est vu accorder donc un droit de visite et d'hébergement par un juge aux affaires familiales en 2012.
- Il pourra ainsi, à l'époque, voir les enfants un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires.
- Il a donc été finalement condamné à 25 ans de prison.
- Le souci, c'est qu'on n'a pas les moyens.
- C'est incroyable, mais on n'a pas les moyens de les suivre.
- Et à un moment, on va falloir les mettre, les moyens.
- Autre sujet, Maxime.
- Cette question, à qui la faute si les voitures sont trop chères ? Réponse peut-être dans le Figueroa Eco, c'est ça ? Oui, absolument.
- Alors que le Figueroa Eco rappelle ces chiffres assez inquiétants.
- Il ne s'est vendu que 820 764 véhicules fin mai 2025.
- C'est pratiquement 30%.
- 30% de moins qu'en 2019.
- La baisse globale des...
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