Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, ça roule.
- Bonjour Pierre, ce matin vous nous alertez sur un phénomène qui se généralise et qui touche des millions de français aujourd'hui.
- Il s'agit des frais abusifs pratiqués par les applications qui permettent de payer son stationnement.
- Oui, si je tire la sonnette d'alarme avec l'association 40 millions d'automobilistes, c'est parce qu'on est vraiment dans des techniques tellement opaques que l'on pourrait presque parler de sentiments d'être arnaqués pour les automobilistes.
- Ces applications sont censées à la base simplifier la vie, mais finalement elles imposent de manière insidieuse des frais supplémentaires.
- D'abord des frais de service et en plus l'ajout systématique et par défaut d'options payantes comme par exemple le service de rappel pour vous rappeler que vous arrivez bientôt à la limite de votre temps de stationnement.
- Concrètement, combien coûte cette pratique à l'automobiliste Pierre ? Alors concrètement, l'automobiliste est facturé parfois de 15 centimes jusqu'à 50 centimes pour certaines applications, alors il en existe une petite dizaine.
- On peut noter notamment Easy Park ou surtout Pay by Phone qui a la cote puisque dans la capitale c'est le service recommandé.
- Lui de son côté c'est 50 centimes supplémentaires par prestation.
- Pour un service que les automobilistes n'ont pas vraiment demandé.
- On coche une petite case un jour en disant qu'on aimerait bien profiter du service de rappel mais on n'imagine en aucun cas que c'est payant.
- C'est inadmissible, c'est une vente quasi forcée car l'option est activée.
- C'est presque par défaut obligeant l'utilisateur à faire une démarche active pour le désélectionner.
- Ce qui est contraire à la loi finalement.
- Nous demandons donc aux opérateurs de ces applis de rétablir une transparence commerciale pratique.
- Il est impératif que les options payantes soient désactivées par défaut et explicitement sélectionnées par l'utilisateur avec tous les tenants et aboutissants et notamment les tarifs et non pas l'inverse.
- Le consommateur doit être maître de son choix.
- Et oui effectivement, merci beaucoup Pierre Chasseret.
- 6h16, le rappel des titres.
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Transcription générée par IA