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H. Renson : "Macron a été élu pour donner au pays de nouvelles armes face à la globalisation"

Par Mathieu D'Hondt

Hugues Renson (Député LREM de la 13ème circonscription de Paris et vice-président de l'Assemblée nationale) était ce lundi l'invité de Philippe David dans l'émission "Seul contre tous"

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Participant ce lundi au débat de "Seul contre tous" avec Philippe David sur l'antenne de Sud Radio, Hugues Renson (Député LREM de la 13e circonscription de Paris) a tenu à défendre le président, ainsi que l'orientation de la politique gouvernementale.

"La France doit faire les réformes et vite"

Celui qui est également vice-président de l'Assemblée nationale a ainsi rappelé l'objectif des réformes défendues par l'exécutif, des réformes nécessaires qui ne peuvent plus attendre, selon lui. "Emmanuel Macron a été élu pour donner à la France de nouvelles armes pour faire face à ce défi qu'est la globalisation. On ne peut pas considérer aujourd'hui que la France pourrait s'en sortir en érigeant des frontières ou en restant derrière un pré carré, derrière ses propres intérêts. Il faut que la France se modernise, qu'elle puisse tirer tous les avantages du mouvement de la mondialisation. Ça veut dire qu'aujourd'hui, la France doit faire les réformes et ces réformes doivent être vite faites. Elles doivent être conduites le plus tôt dans le mandat et toutes dans le même temps parce qu'en réalité, tout se tient", a-t-il ainsi affirmé.

"Nous avons la légitimité du suffrage pour mener ces réformes et nous avions dit ce que nous allons faire. Nous sommes dans l'application stricte et intransigeante des promesses que nous avons tenues devant les Français", a-t-il encore insisté. Et l'intéressé d'évoquer l'importance d'une entité supranationale comme l'Europe, pour mener à bien cette politique. "Oui, nous sommes résolument européens, nous sommes passionnément européens parce que c'est un continent de paix, de stabilité, mais aussi de développement et on sait bien que pour faire face aux défis du monde, l'échelle nationale n'est plus suffisante. Donc nous devons poursuivre ce projet européen", a-t-il ainsi expliqué. "En revanche, nous refusons de laisser le discours de la critique de l'Union européenne aux eurosceptiques", a-t-il par ailleurs précisé.

>> Retrouvez l'intégralité de l'émission, disponible en podcast

 

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