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G. Didier : "Pas de soutien automatique pour un autre candidat"

Par Jérémy Jeantet

Si Geoffroy Didier n'a pas obtenu les parrainages nécessaires pour se présenter à la primaire des Républicains, il assure avoir "conquis [sa] liberté". Et regrette que ce soit "plus dur de se présenter à la primaire qu'à la présidentielle".

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Invité de Territoires d'Infos dans le Grand Matin Sud Radio, Geoffroy Didier a confirmé qu'il n'avait pas pu réunir les parrainages nécessaires pour se présenter à la primaire des Républicains."Je n'ai pas mes parrainages mais pour moi tout commence, a-t-il assuré. J'ai conquis ma liberté, j'ai construit une force militante importante."Le vice-président de la région Ile-de-France regrette toutefois les conditions drastiques qui ont été fixées par son parti pour être candidat : "La primaire avait une règle de filtrage, ça c'est normal. Mais il n'est pas normal que ça ait tourné au verrouillage (...) Et il n'est pas normal que ce soit plus dur de se présenter à la primaire qu'à la présidentielle elle-même.""Déterminé à poursuivre [son] engagement politique", Geoffroy Didier ne se voit pas, pour autant, se ranger derrière un candidat : "Il n'y aura pas de soutien automatique de ma part pour un autre candidat. Je comprends le souhait d'Alain Juppé sur l'identité heureuse, et j'admire l'énergie de Nicolas Sarkozy."Il est également revenu sur l'interpellation, jeudi soir, de trois femmes radicalisées "qui préparaient un attentat imminent" selon le ministre de l'Intérieur. Pour Geoffroy Didier, après que l'on ait "enfumé le débat pendant 6 mois avec la déchéance de nationalité", il est temps de passer aux actes : "Attaquons-nous enfin une fois pour toutes à la radicalisation chez les jeunes. Il faut mettre en place des tests de radicalisation. Anonymisons les terroristes. Arrêtons de divulguer leur identité."

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