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Un an après les Panama Papers, voilà les Paradise Papers

De nouvelles révélations sur des fortunes cachées dans des paradis fiscaux.

 

Avec une différence de taille, il n’est pas question d’argent sale, issus de trafics en tous genres, mais d’argent gagné légalement appartenant à des personnalités connues.

On retrouve donc la reine d’Angleterre, des proches de Donald Trump, de Justin Trudeau, ou des artistes comme Madonna, Bono. Et des entreprises comme Apple ou Facebook.

L’argent a été placé ou est passé par des paradis fiscaux, pour échapper à l’impôt, en utilisant des mécanismes d’optimisation fiscale tout à fait légaux.

Mais pas toujours. Dans certains cas, les méthodes utilisées pour ne pas payer d’impôt ou en payer moins sont requalifiées par le fisc des pays concernés en abus de droit. À ce moment-là, la facture peut être très salée.

Il y avait 13 millions de documents dérobés par des pirates informatiques à un cabinet d’avocats. Une centaine de médias à travers le monde sont regroupés pour éplucher tous ces documents.

Attendez-vous à découvrir des noms d’entreprises ou de personnalités françaises dans les prochains jours.

Le but est de dénoncer le fait que, grâce à l’optimisation fiscale et aux paradis fiscaux, pour certains, l’impôt n’existe tout simplement pas.

Écoutez l'édito de Jean-Baptiste Giraud dans le Grand Matin Sud Radio, présenté par Patrick Roger et Sophie Gaillard

 

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