"Dans ce scénario, il y a une réalité de la vie des cinquantenaires que je vis dans ma vie de tous les jours. Cette imperfection humaine est racontée dans le film et parfois c'est franchement drôle. C'est du cinéma populaire dans le bon sens du terme", a-t-il déclaré au micro de Sud Radio.C'est la première fois qu'il travaillait avec Philippe Guillard, une expérience qu'il ne regrette pas : "Philippe fait un cinéma qui lui ressemble. Dans le monde des acteurs, certains se la pètent un peu. Dans le sport, il y a des résultats et ça rend humble. Philippe est un ancien sportif et il fait du cinéma avec humilité. J'avais beaucoup aimé "Le fils à Jo", donc rencontrer Philippe m’intéressait. On s'est très vite bien entendus, c'est la magie de Philippe. J'ai pris beaucoup de plaisir à faire ce film. Il me touche beaucoup."Originaire de Toulon, ville de rugby, l'acteur est fier de ses origines et de ses valeurs, qu'il retrouve dans ce film : "J'ai grandi à Toulon avec la voile, le rugby et l'art dramatique. J'ai retrouvé dans ce film le sens du collectif et des valeurs. Ce n'est pas un film nostalgique. Il y a certes une profonde mélancolie, mais en même temps il donne de la force. Les personnages de ce film sont comme les joueurs sur un terrain de rugby : ils ont des bleus mais ils avancent."
Charles Berling : "Ce film a le sens du collectif et des valeurs"
Par Justin Boche
"Dans ce scénario, il y a une réalité de la vie des cinquantenaires que je vis dans ma vie de tous les jours. Cette imperfection humaine est racontée dans le film et parfois c'est franchement drôle. C'est du cinéma populaire dans le bon sens du terme", a-t-il déclaré au micro de Sud Radio.C'est la première […]
